La première sortie de Maxime à la piscine avec l’école ne s’était pas bien passé. Il avait pleuré sans arrêt et n’avait jamais osé aller à l’eau. Nous savions qu’il n’était pas à l’aise avec l’eau (souvenez-vous, l’eau de mer autant que l’eau douce) mais ne pensions pas qu’il aurait si peur de la piscine. J’ai donc décidé aujourd’hui d’accompagner les enfants (Maxime, Tristan, Jane, Léonardo, Matéo, Miranda, Léopold et Anouk).

Maxime s’est mis à pleurer dès que nous avons passé les portes de la piscine, faisant au passage pipi dans sa culotte. Je réussis à le calmer, et après avoir subrepticement pris quelques photos avec mon téléphone, arriva le moment de rentrer dans l’eau.

Maxime se remit à pleurer de plus belle, et c’est accroché, aimanté devrais-je dire, à moi, les bras autour du cou, les jambes autour de la taille, que nous avons mis les pieds dans l’onde.

Petit à petit, j’ai quand même réussi à le décrisper un peu, pour finalement arriver à ne plus le tenir que par les mains, en lui disant de battre des pieds, comme s’il faisait du vélo.

Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il a apprécié, mais il y a un net progrès et si nous y retournons régulièrement, nous pouvons espérer que Maxime s’y habitue. Il n’a d’ailleurs pas arrêté de répéter ce soir qu’«il ne faut pas avoir peur».

Un seul incident à déplorer : Léopold a fait caca dans l’eau…

Maxime nous a offert son premier graffiti, sur le mur de la cuisine. Espérons que ce soit le dernier.

Marieke souffre des gencives. Elle a été malade vendredi soir, et a de manière générale passé un assez mauvais week-end. Grognon, dormant mal, de la fièvre, et devant toujours mâchonner quelque chose, qu’il s’agisse de ses mains ou d’autre chose.

Heureusement, Maxime prend bien soin d’elle, soit en jouant et la faisant bien rire, soit en lui donnant son biberon!

Ce week-end, c’était l’anniversaire d’Opa et d’Oma. Opa a eu 65 ans, ça se fête. Nous étions donc de la partie, comme toute la famille et nombre d’amis. L’occasion enfin de voir tous les petis enfants réunis.

Les enfants ont passé pas mal de temps dehors, à jouer à faire «pan!, pan!» avec des armes en bois.

Marieke, elle, est passé de bras en bras, faisant des grands sourires et du charme à tout le monde.

Avant ça, Maxime avait joué au football avec Aleth et était allé voir les moutons avec Opa.

Et il s’était même fait marcher sur le pied par la chèvre !

Maxime a-t-il joué trop tard dehors ? En tout cas, il a été malade le lendemain soir, assurément un coup de froid et de fatigue. Nous l’avons donc pris dans notre lit pour la nuit et il est resté à la maison lundi, se rétablissant très vite.

Deuxième invitée du blogue, tante Aleth, qui nous raconte le week-end de la Pentecôte :

[Traduction automatique en français ici]

Pinkstervakantie in Otterlo

Wat was het gezellig! In het Pinksterweekend, van zaterdag 30 mei – maandag 1 juni, heeft Maxime een korte vakantie gevierd met Gijs en Merijn, opa, oma en Paul en Aleth. We zaten in een leuke Finse bungalow omgeven door bomen en met een heerlijke tuin waar Maxime gevoetbald heeft met zijn neefjes en oom en tante. Het allerleukste was misschien wel het voeden van de beesten op de boerderij, ook al vond Maxime het ook wel een beetje eng. Na de kippen te hebben gevoed, gingen we met andere kinderen naar de varkens en de lammetjes toe.

De lammetjes waren best wel lief hoor, vond Maxime, maar hij bleef (in tegenstelling tot Gijs en Merijn) toch wel graag op enige afstand, bij voorkeur achter het hek 🙂 . De kleine konijntjes vond Maxime weinig bedreigend en die wilde hij daarom wel even op schoot houden en aaien.

Zijn neven hebben daarna nog de geit gemolken en paardje gereden, maar dat zag Maxime niet zitten (“Aleth, Maxime c’est ne pas paardje. Non”).

Natuurlijk viel er ook heel veel te spelen. Er was een speeltuintje met tractors, een ligschommel, een wip-wap, een zandbak, etc. Maxime was vooral op de tractor te vinden.
Bij de bungalow speelden Gijs, Merijn en Maxime heel leuk met elkaar: voetballen, stoeien en zich verstoppen in hun ‘hut’.

Voor ons, Paul en Aleth, en ook opa en oma was het heerlijk om Maxime op bezoek te hebben. Het is een heerlijk mannetje: vrolijk, grappig en dikke maatjes met zijn neven. De jongens mochten met zijn drieën op dezelfde kamer slapen en dat was toch wel héél gezellig. Op zaterdagavond vielen ze, moe van het spelen in het Nationale Park de Veluwe, al snel als een blok in slaap, maar op zondagavond klonken er wel heel veel vrolijke geluiden vanuit hun slaapkamer.

Het was een geweldig weekend, waarin de neefjes ontzettend leuk met elkaar hebben gespeeld en waar het voor opa en oma en ons, Paul en Aleth, genieten was om Maxime als logee te hebben!

Marieke grandit, et certains de ses vêtements commencent à être trop courts (tous ne sont pas des Babygros, qui grandissent avec l’enfant). Tresja a donc commencé à recycler certains des pyjamas de Maxime, et c’est certainement la première fois qu’on voit Marieke habillée de bleu !

Il fait beau, la garderie après l’école se fait en plein air. L’occasion pour Maxime de revenir sale comme jamais je ne l’ai vu avant !

Maxime m’a fait acheter hier des mini-Babybels. Heureusement, c’est pour les manger et pas pour jouer avec la cire qui les entoure. Surpris de voir qu’il connaissait, il m’a dit que c’est avec Hasna qu’il en mangeait. Heureux de voir qu’il n’a pas oublié la crèche.

Nous avons profité du long week-end pour nous débarrasser des enfants et profiter à deux du beau temps amstellodamois. Maxime avec Aleth (qui vous racontera le week-end de Maxime ici-même) et Marieke chez Maminie (qui vous racontera le week-end de Marieke ici-même).

En attendant, une nouvelle fonctionnalité sur le blogue : des enregistrements que vous pouvez écouter dans la colonne de droite (en cliquant sur la flèche pour les lancer) et quelques photos prises la semaine dernière :

Au fait… Marieke a sept mois aujourd’hui.

Nous avons reçu les photos de classe de Maxime. Maxime a même su nous donner les prénoms de plusieurs de ses camarades. Ce sont toutefois deux instituteurs d’anglais, donc pas les siens.

L’école se passe plutôt bien, Maxime commence à revenir avec des nouveaux mots («Marieke a fait un prout», «C’est magnifique!»), mais aussi de nouvelles chansons (Pomme de rainette). Il semble par ailleurs se faire de plus en plus de camarades car il n’est plus jamais seul quand je vais l’y chercher le soir.

Nous avons profité du pont de l’Ascension pour aller passer une journée à la mer, à Domburg (au sud des Pays-Bas). Maxime étant maintenant propre, nous ne lui mettons plus de couche, même en voiture, nous exposant à d’intempestifs «Papa! Pipi!». Ça n’a pas manqué, mais heureusement, il y a rarement urgence, car Maxime est capable de se retenir. Parfois un peu trop même quand, après un arrêt pipi, il demande un arrêt caca alors que nous avons parcourus moins de 100 mètres !

Arrivés à Domburg, nous avons commencé par nous restaurer. Maxime a commandé des poffertjes, ces petites crêpes qu’il adore.

Il a aussi aidé Papa à manger ses frites avant de finir par une gigantesque dame blanche, la deuxième en deux jours. Demain, régime!

Nous avons passé l’après-midi à la plage, et Maxime autant que Marieke ont adoré. Marieke n’en pouvait plus de rire d’avoir le vent dans le visage, tandis que Maxime fabriquait des pâtés de sable.

Impossible par contre de lui faire mettre les pieds dans l’eau. Il faut vraiment que nous allions à la piscine pour remédier à ça.

En fin de journée, les enfants étaient épuisés et se sont effondrés dès notre retour. Il nous faut reconnaître, nous le saurons pour la prochaine fois, que Domburg est un peu trop lointaine pour un aller-retour dans la journée.

La première dame blanche ? Partagée hier avec Papa alors que nous étions allés manger dehors avec Maminie venue passer la journée.

Une nouveauté sur le blogue, c’est aujourd’hui un invité qui écrit en la personne de Nicolas. Si l’expérience est concluante, nous la renouvellerons. Je laisse la plume à Nicolas :

L’Education sentimentale et tout Flaubert en quelques heures, ça fait beaucoup pour un petit garçon…

Le quartier du Châtelain bouclé pour un marché aux puces, Maxime décide d’emmener la famille chiner un peu. Ils y croisent Ann et Nicolas en pleines emplettes de savons tous plus colorés les uns que les autres, ce qui plaît bien à Maxime…

Malheureusement, quels que soient leur parfum, les savons ne sont pas comestibles et l’appétit de Maxime s’était déjà bien creusé avec tous ces kebabs et sandwiches en vente sur la chaussée.

Aucun stand de peluches ne lui fait oublier son estomac vide :

et Maxime est proche d’abandonner la braderie et de ramener Marieke, papa et maman à la maison quand un van Volkswagen apparaît dans son champ de vision… et Maxime de joindre les mains comme s’il avait trouvé la grâce.

Marieke, elle, en a vu d’autres…

La géante gaufre est rapidement engloutie :

Maxime reprend sa balade… à dos de papa…

…parfois distrait…

…ou facétieux…

…et lorsqu’il met pied à terre, c’est pour y faire des rencontres avec une belle brune…

Il en ressort l’air rêveur…

…mais trouve réassurance auprès de papa qui sait lui expliquer les choses de la vie…

…tout cela sous l’oeil bienveillant de maman (et distrait de Marieke)

Vu la tentative de Maxime de rester, on en a conclu qu’écumer les rues du quartier lui avait bien plu, finalement…

«Je veux pas aller à l’école». La phrase devenue fétiche de Maxime, première chose qu’il dit en se réveillant le matin, puis qu’il répète des dizaines de fois dans la journée. Il s’y plaît pourtant, et s’y intègre bien nous ont dit les instituteurs que nous avons croisés hier lors de la fête de l’école. Difficile justement de lui expliquer que nous allons à l’école mais que ça n’est pas comme un jour habituel. Pendant le premier quart d’heure, Maxime n’a ainsi eu cesse de nous attirer vers la porte.

Après, il a enfin compris que la journée était particulière, qu’il y avait gâteaux et jus de fruit et qu’il avait tout intérêt à s’accommoder à la situation.

C’est la première fois que nous voyions Maxime dans un environnement qu’il connaît mieux que nous. Il nous a notamment montrés qu’il allait désormais sur les grandes toilettes sans aide, alors qu’il en était encore au pot à la maison, chose qui a changé dès hier soir.

Demain, retour à l’école, la vraie, avec une sortie à la piscine.

Maxime dessine de mieux en mieux. Ça reste toujours très abstrait mais les gribouillis se font plus précis, les boucles se ferment, et il sait ce qu’il dessine. Ici, un chameau, à gauche sa queue, au-dessus des boutons (de varicelle assurément) :

De quelle couleur sont les yeux de Marieke ? Il faut reconnaître que la question n’est pas encore tranchée. Pour l’instant, il s’agit plutôt d’une sorte de gris pas uniforme du tout.

Ça ne la gêne en tout cas pas, car ce sont ses pieds qui l’intéressent avant tout.

Le grand jeu de Maxime en ce moment ? Servir du café.

La tante de Tresja a fabriqué des jolies poupées pour Marieke. Et une de plus pour Maxime. Nous avons donc désormais sept poupées, que Maxime nous présente tout de suite :

La plus mal en point, éventrée de partout

La doyenne, c’est celle de Maman

La petite dernière, mais plus grande que toutes les autres

La préférée, orange (si l’on en croit les vieilles photos), recousue mille fois

La poupée de Marieke, une jolie petite toute rose

La grande rose, que Maxime voudrait s’approprier

La laissée pour compte, dont personne ne veut.