Le 15 août passé, la pression touristique retombe traditionnellement un peu et vient l’heure de s’attaquer aux destinations hyper-touristiques. Nous avons commencé par l’île de Ré où, même un 16 août, il y a encore beaucoup beaucoup de monde. Nous avons renoncé à louer des vélos, bien nous en a pris: il y a vraiment trop de voitures, et le soleil tapait de toute façon bien trop fort pour rendre la chose agréable.
Nous avons commencé par flâner à St Martin, capitale de l’endroit.
Maxime avait cassé ses «lunettes de course» et en voulait de nouvelles.
…et donc Marieke aussi.
Une photo sans ses nouvelles lunettes, ça ne plaît pas à Maxime.
Souriez!
Nous prenons ensuite la route d’Ars, le village le plus typique de l’île.
Beaucoup de vignobles sur l’île. Mais il paraît que la cuvée 2011 ne sera pas bonne. Trop sec au printemps, trop arrosé en été.
Nous nous arrêtons à la plage et y passons l’après-midi.
Les enfants ne veulent pas se baigner sans leurs bonnets de bain. Ça n’est pas très photogénique, mais ça protège du soleil.
On enlève le bonnet pour la photo.
Marieke a d’abord eu un peu peur des vagues, mais ça n’a pas duré.
Après la plage, promenade à Ars, effectivement un très joli village.
Maxime a vite saisi quel était le look à adopter.
Avant de regagner le continent, nous sommes allés jusqu’au grand phare du bout de l’île, où se tenait un festival de jazz.
Enfin départ dans les bouchons de passage du pont et retour à la maison à 22h.
Journée chargée donc hier, nous avons décidé de ne pas trop en faire aujourd’hui, d’autant qu’il faisait encore très très chaud (32°C en milieu d’après-midi). Nous sommes allés faire quelques courses à Saintes, avant de revenir nous rafraîchir à la piscine.
Maxime n’a plus peur de sauter dans l’eau.
Marieke croît qu’elle sait nager et demande sans arrêt d’être seule à l’eau…
Les enfants ont beaucoup joué avec Grace et Jenson, deux petits voisins anglais (un peu plus âgés qu’eux). Ils leur ont même offert des marshmallows en brochette*.
*Pour les curieux qui en ont entendu parler dans les films américains, c’est exactement la même chose qu’un chammallow™** sauf que ça coule et qu’on s’en met partout.
**Pas sûr de l’orthographe…