Maxime s’est découvert avec la Coupe du monde une passion pour le football.

Depuis, il n’a plus qu’une idée en tête quand nous allons au parc : jouer au foot.





Même si les attitudes font parfois plus penser au rugby:

Pendant ce temps, Marieke grimpe (mais ne sait pas descendre):

Aujourd’hui, fête nationale en Belgique, nous sommes montés sur la terrasse de Paula et Javier voir le défilé aérien.

Nous nous attendions à quelque chose de plus impressionnant…





En Belgique, pendant les vacances, les enfants font des «stages». C’est ainsi qu’on appelle les activités organisées par les écoles, centres aérés, communes, etc.
Maxime a donc suivi un mini-stage de deux jours, hier et aujourd’hui (demain, fête nationale, c’est férié) à l’école. Mini-stage de néerlandais sur le thème de la pêche. Au programme, tarte aux pêches, confiture de pêches, du sport («?on a la pêche!»?) et du maquillage (je ne sais pas s’il y a un lien avec le thème).

Il était un peu inquiet avant de retourner à l’école, pensant qu’il devrait parler anglais (parce que maintenant il est grand et que les grands parlent anglais, la logique est confuse), mais s’est vite rassuré quand il a vu qu’Alexandre, son meilleur camarade de classe, y participait aussi. J’ai ainsi dû attendre 10 minutes hier soir qu’il termine son dessin avant qu’il accepte de quitter les lieux.

Marieke, elle, est retournée à la crèche, au grand bonheur de Maxime qui peut profiter de la piscine à boules.

Il fait tellement chaud que les enfants y passent leur journée au jardin, presque nus.

Presque, mais pas autant qu’à la maison…

Nous sommes rentrés de Bretagne, heureux de retrouver Maman et Marieke.

Retrouvailles de courte durée, puisque Maman est déjà repartie, pour quelques jours, aux Etats-Unis.
Marieke, elle, a comme à son habitude fait la timide en nous voyant arriver.

Mais elle ne put cacher longtemps qu’elle était très contente de nous revoir : au restaurant où nous sommes allés déjeuner peu après notre arrivée, Marieke, assise en diagonale par rapport à moi, est très vite montée sur la table pour venir me rejoindre.


Marieke a ensuite tenu à nous montrer ses progrès, aussi bien en marche qu’en grimpette.


En Bretagne, la chambre était très sombre, Maxime dormait longtemps. Je me demandais ce qu’il allait en être à Bruxelles, où il n’a encore ni rideaux ni volets. J’avais bien calfeutré sa fenêtre avec des serviettes, je craignais qu’il ne se réveille samedi matin à l’aube. Craintes redoublées quand Tresja me dit que depuis quelques jours, Marieke se réveillait systématiquement entre 5h30 et 6h et refusait de retourner au lit avant 7h30.
Samedi matin, ça n’a pas manqué, Marieke s’est réveillé à 5h45. Je venais de passer dix jours pendant lesquels je ne me suis jamais levé avant 8h30, et nous nous étions couché la veille à 1h30 pour cause de barbecue, c’était trop tôt pour moi. Je montai, restai avec Marieke quelques minutes avant de lui dire qu’elle devait se rendormir, ce qu’elle fit. À 7h30, au tour de Maxime d’appeler. Un ou deux «?chut» autoritaires le firent lui aussi se rendormir. C’est finalement à 9h que tout le monde se réveilla. Il y a ?bien longtemps que nous n’avions fait telle grasse matinée!
Maxime s’habitue à l’eau. Il n’hésite plus à aller y mettre les pieds pour faire voguer son bateau.

Mais quand de grosses vagues déferlent, il est tout de suite moins rassuré.

Ses autres activités préférées à la plage sont le football et le tennis.


Maxime aime aussi voir passer les chevaux.
C’est déjà la fin des vacances, et Papy est venu nous rendre visite ces deux derniers jours. Au programme, tennis sur la plage, accrobranches et crêperie à la ferme.



La canicule est finie, le vent est plutôt frais désormais.


Trampoline pour Zoé, Maxime admire.



Retour à la maison demain. Maxime a bien apprécié le séjour mais sera bien heureux de retrouver Maman et Marieke.
Grosse chaleur sur la Bretagne (et ailleurs). Il est temps de se mettre à l’eau. Heureusement, Augustin a réussi à vaincre la peur de Maxime à l’égard des vagues.
Il faut dire qu’il commençait à apprécier s’asseoir au bord de la mer, mais sans oser tremper plus que les chevilles.

Et hier, à force de patience et de conviction, Augustin a fait rentrer Maxime dans l’eau, jusqu’au ventre.


Bon, il ne faut pas lui lâcher la main bien sûr, sinon c’est retour direct à la plage, mais c’est un bon début.

Ce matin, nous avons changé de plage. Celle-ci est moins blanche, mais le sable y est plus agréable. Et surtout, elle est très plate, l’eau y est donc chaude et sans vagues. Comme dans le bain!


Comme dans le bain… avec le droit d’éclabousser en plus!


Ce soir, nous sommes allés dans une crêperie «à la ferme».

De bonnes crêpes, et surtout plein d’animaux : chevaux, vaches, moutons, cochons, poules, etc.


Les chevaux arrivent!



«Les vaches, elles ont des cornes comme ça, comme les dinosaures!»
Les Pays-Bas sont en finale de la coupe du monde de football. Maxime s’était habillé en conséquence pour les supporter lors de la demi-finale.

Il a même eu le droit de regarder l’avant match avant d’aller se coucher.


Nous sommes en vacances en Bretagne, Maxime, Augustin et Zoé, Maminie et moi, comme l’an dernier, pour quinze jours. Maxime n’a pas seulement l’occasion de regarder le football, il y joue aussi.

Et comme les vrais footballeurs, il se blesse aussi.

Le temps est magnifique, les enfants profitent bien de la plage. Maxime considère notamment qu’il y nage, dès que son petit orteil touche l’eau.


Les chevilles dans l’eau, c’est le plus profond que nous ayons réussi à l’emmener.
Mais heureusement, il n’y a pas que l’eau : nous préparons chaque jour un circuit pour que Maxime puisse y faire rouler son camion.

Maxime est en vacances, nous passons pas mal de temps au parc. Hier, Maxime a (re)fait la connaissance de Sarah (une petite Suédoise avec qui il avait déjà joué à Peter Pan, l’appelant la Fée Clochette).
«Papa: tu viens manger un fruit Maxime?
Maxime: je veux le partager avec mon amoureuse.
Papa: qui est-ce ton amoureuse?
Maxime: c’est elle, là!
Papa: Et elle s’appelle comment?
Maxime: HÉ! Comment tu t’appelles?»

«Maxime: Papa!, quand ce sera mon anniversaire, j’aurais cinq ans et demi, hein?
Papa: Sarah a cinq ans et demi?
Maxime: oui»
Sarah s’en va, et vient embrasser Maxime.
«Sarah: Il m’a fait un bisou sur la bouche!
Maxime: moi j’aime bien les bisous sur la bouche»
Pendant ce temps-là, Marieke, loin de ces considérations de grands, étrenne sa robe au jus de fraise.

