Le froid revient
6°C ce matin à Bruxelles, on a ressorti les bonnets.
6°C ce matin à Bruxelles, on a ressorti les bonnets.
La météo ne nous a pas offert beaucoup d’opportunités de sortir ces jours derniers, et c’est sur le trottoir, devant la maison, que les enfants se sont amusés entre les gouttes.
Marieke se met à la voiture.
Rouler dans les flaques, c’est bien.
Sauter dans les flaques, c’est mieux.
À fond!
Lâcher le guidon est risqué.
Chute!
Ce qui devait arriver arriva donc. Maxime est tombé, mais ne s’est heureusement pas fait mal.
Mais que faire quand il pleut ?
Mettre les poissons dehors
Faire une sieste
Faire un long train en Lego
auquel Marieke veut contribuer
Préparer des crêpes
Mais voilà, on n’est pas toujours assez prudent, et il arrive qu’on glisse et tombe de la chaise. À quoi se rattraper ? Au plat…
Plus de peur que de mal ici encore.
Il a fallu changer tous les vêtements de Maxime, trempés de pâte, et surtout tout nettoyer.
Maxime a repris aujourd’hui les cours de cuisine à l’école, en préparant de la mousse au spéculoos pendant que Marieke, coïncidence, cuisinait elle aussi à la crèche et préparait du pain.
C’est Marieke qui a tout mangé.
Tresja, de retour du travail et ignorant la gourmandise récente de sa fille, offrit des glaces à toute la famille. Personne ne s’est fait prier.
Dimanche, c’était la journée sans voitures. Nous sommes allés au bois avec Paula et Javier et Justine et Vincent, les parents d’Oscar. La journée sans voitures est certainement la journée la plus dangereuse pour le cycliste quotidien qui se retrouve entouré de centaines de cyclistes n’ayant conscience de la moindre notion de sécurité routière à vélo. Nous laissons donc ce jour les bicyclettes à la maison et préférons la marche. Qui n’est pas un gage absolu de sécurité, loin de là: Maxime s’est fait renverser par un vélo sur un passage clouté. Rien de grave, le cycliste en herbe, à peine plus âgé que Maxime, ne roulait pas vite mais ne regardant pas devant lui n’a pas vu que Maxime s’était arrêté au milieu du passage. Pas de bobo, mais une vraie frayeur pour Maxime.
On essaie d’attraper une branche pour arracher des feuilles…
…mais il manque encore quelques centimètres.
Une plume de corneille dans les cheveux; de quoi être fier.
Il suffit de se baisser pour ramasser une épée.
À l’assaut!
On se bat la poussette d’Olivia.
Marieke l’a eue cette fois-ci.
Entre l’anniversaire de Maxime et l’aide à papa, nous recevons en ce moment pas mal de visite. Cette semaine, c’était d’abord Aleth, Paul, Gÿs et Merÿn accompagnés d’Opa qui sont venus passer le week-end, puis Vanessa et Patrice de mercredi à vendredi pour donner un coup de main, Tresja devant passer pas mal de temps au travail.
Nous ne nous sommes pas contentés de fêter l’anniversaire de Maxime, mais aussi celui de Gÿs et Merÿn, tous les deux passés à la trappe car pendant l’hospitalisation de papa.
Pour ne pas faire de jaloux, Marieke a aussi eu droit à sa bougie.
Des Legos pour Maxime et Merÿn…
…et une montre pour Gÿs.
Quand Opa vient à Bruxelles, il fait toujours beau. Quand Aleth vient à Bruxelles, il fait toujours mauvais. Nous avons donc eu un jour de beau temps…
…et un jour de pluie (qui ne nous a toutefois pas empêché de sortir).
Dimanche après-midi, visite chez Antonia pour son anniversaire, avec notamment un spectacle de marionnettes.
Aleth partie, le beau temps est vite revenu et nous avons pu retourner au parc.
Mercredi, Vanessa et Patrice sont arrivés. Nous sommes allés passer la visite médicale chez le pédiatre. Maxime mesure 1m06,5 et pèse 19 kilos, Marieke 84cm et 11,2 kilos. Maxime a été très sage, Marieke a beaucoup pleuré.
Papa est encore bien trop faible pour de telles acrobaties!
Maxime aime jouer avec «le lipad».
Un des nouveaux jeux de Maxime : faire de la gymnastique.
Et forcément, Marieke s’y met aussi :
Quelle surprise en allant chercher Marieke que de voir, inscrit au tableau des activités du jour, «massage». M’en enquérant auprès de Michel (le patron), il s’avère qu’une des puéricultrices en est spécialiste. Et non contente d’offrir un massage aux petits, elle en a profité pour leur apprendre à se faire des massages les uns les autres. Pas étonnant que Marieke soit si contente le matin d’aller à la crèche.
Il restait un gâteau hier qu’ont partagé les enfants. Avec goût.
Maxime, lui, a un peu plus de mal à aller à l’école. Il ne veut pas rester seul, dit-il, même argument qu’avant d’aller se coucher, qui nous semble lié au fait qu’il ne nous ait pas vu pendant trois semaines an août : il craint, à chaque fois qu’il nous perd de vue, que ça va durer. J’ai commencé à en parler aux maîtresses, qu’elles puissent gérer le problème s’il se présente dans la journée. Mais jusqu’à maintenant, tout se passe bien dès qu’il a digéré notre départ.
Maxime me demande aussi souvent pourquoi j’ai été malade, pourquoi on m’a mis un masque, pourquoi j’avais des serpents (des tubes) dans la bouche, etc., questions auxquelles j’essaie de répondre tant bien que mal. Il aime aussi lire le livre sur l’hôpital que lui a offert Maminie, demande à regarder la télé quand il voit qu’on parle d’hôpital et invente des chansons sur par exemple et entre autres les ambulances. Autant dire que ça lui occupe l’esprit. Il ne veut pas non plus que j’aille chez le docteur, il s’est mis à pleurer hier quand je suis parti chez le kiné. J’ai toutefois bon espoir que la situation va s’améliorer avec mon état physique et qu’on ne gardera de cette histoire qu’un mauvais souvenir.
Quiconque est passé par chez nous ces derniers jours ne peut l’avoir manqué : Maxime allait avoir quatre ans, il ne cessait de le répéter, et décomptait, chaque jour, le nombre de nuits qu’il restait à dormir avant son anniversaire.
Plusieurs fois d’ailleurs nous réveilla-t-il cette semaine, vers 2 ou 3 heures du matin, demandant si la nuit était finie, et se plaignant de ne plus pouvoir attendre.
Ce matin, enfin, le grand jour.
Après ça, difficile forcément d’aller à l’école. «Mais Papa, je veux pas aller à l’école.»
Un peu difficile de nous quitter, mais pas de larmes aujourd’hui.
C’était aussi l’anniversaire d’Antonia et sa maman avait préparé un gâteau pour fêter les deux anniversaires à l’école.
Ce soir, les enfants ont pu jouer avec les cadeaux : un garage en bois, un hélicoptère et une voiture Playmobil, et des livres.
Mais avant ça, il fallait souffler les bougies.
Des gâteaux fort appréciés par Marieke.
Maxime a bien insisté une dernière fois avant de s’endormir : «quand j’étais petit, j’avais trois ans et demi. Maintenant, j’ai quatre ans, je suis grand.»
Rentrée pour le blogue, mais surtout rentrée des classes aujourd’hui pour Maxime. Grosses larmes, c’est la rentrée après tout, mais elles n’ont pas duré et Maxime était content de sa journée quand maman est allée le rechercher.
Pour Marieke, la rentrée avait eu lieu il y a une semaine. Nous nous attendions à ce ce soit difficile, elle n’était pas allée à la crèche depuis plus d’un mois, mais tout s’est en fait bien passé avec très peu de larmes.
Que s’est-il passé depuis le retour des enfants à Bruxelles ? Un reportage en images plus qu’en texte, les mains de papa étant encore trop douloureuses pour utiliser longuement le clavier.
retour à la maison. Pas de timidité, les enfants sont très contents de nous revoir.
Les enfants veulent que papa leur lise des histoires. Il n’en a malheureusement pas toujours la force.
C’est donc Maxime qui va lire à Marieke.
Une fin d’été plutôt pourrie côté météo.
Opa et Oma sont restés une semaine à Bruxelles pour nous aider à nous occuper des enfants.
Un mois sans les voir, c’est Marieke que nous avons trouvée particulièrement grandie.
Petit à petit, papa se met à marcher et à se promener avec les enfants.
C’est désormais maman que Maxime doit aider à cuisiner.
Peut-être pas aussi blond que l’an dernier, mais quand même…
Maminie est aussi venue passer deux jours.
Puis tante Marie et tonton Thomas nous ont rendu visite.
Mateo est rentré de vacances.
Opa n’est plus là, papa n’a pas assez de forces, c’est Javier qui est mis à contribution pour les acrobaties de Maxime.
Papa se remet doucement à cuisiner.
Marieke est toujours aussi calme et peut passer de longs moments à jouer toute seule.
Maxime a abandonné les Duplos pour de vrais Legos. Ça n’est pas toujours facile.
On reprend les bonnes habitudes en allant au café prendre le petit déjeuner.
C’est l’heure d’aller se coucher, mais Marieke ne l’entend pas de cette oreille.
Toute seule, elle va chercher et installe la nappe…
…et va chercher des pots de «patate modeler», comme dit Maxime, pour faire durer la soirée.