Après leur première année de cours de natation, les enfants ont tous les deux eu leur brevet samedi. Ils ne savent pas encore nager, mais sont censés ne plus avoir peur de l’eau, flotter, voire nageoter.
Maxime fait l’étoile sous les yeux de Marieke
Au tour de Marieke de montrer ce qu’elle sait faire
L’examen est fini, les enfants ont encore un peu de temps pour jouer.
Maxime s’essaie au plongeon… et fait un gros placard.
Pour fêter ça, les enfants retournent à la piscine dès le lendemain chez Mamie. Et tant pis si le maillot de bain est resté à la maison!
Victoire difficile des Pays-Bas devant le Mexique. Les Oranje sont en quarts!
Maxime, Tresja, le papa de Konraad et Konraad.
La coupe du monde de football est cette année une vraie démonstration de coupes de cheveux extravagantes. Maxime n’y est pas insensible.
Mamie vient de déménager, nous sommes allés passer un dimanche à Saint-Omer. Le long d’un wateringue, c’est l’endroit idéal pour la pêche.
Mais surtout, il y a une piscine! Et tant pis s’il ne fait pas si chaud.
De retour à Bruxelles, le foot reprend ses droits.
La Coupe du Monde entre dans le vif du sujet aujourd’hui: les Pays-Bas affrontent l’Espagne, et on craint le pire.
Le match est en soirée (21h), mais Marieke insiste pour en voir au moins le début. Elle s’endormira avant la mi-temps.
On craint le pire, mais bien vite, les Néerlandais prennent l’avantage et finissent par humilier les Ibères.
À 5-1, on danse autant ici que dans les travées du stade.
Temps lourd ce matin à Helsinki, et on y annonce de la pluie pour toute la semaine. Nous repartons au bon moment. Petite frayeur à l’aéroport quand on nous annonce l’annulation du vol, mais on nous offre aussitôt une place dans le suivant, prévu une heure plus tard.
Accueillis à Bruxelles par un arc-en-ciel.
Nous avons tous passé un très bon week-end et les enfants ont beaucoup aimé Helsinki (le beau temps ayant bien aidé). Maintenant, place au football et à la Coupe du monde, qui débute dans deux jours.
Nous sommes allés nous promener aujourd’hui à Seurasaari, île boisée en banlieue d’Helsinki, hôte d’un écomusée sur l’habitat traditionnel finlandais. Maxime et Marieke ont surtout été intéressés par la nature, escargots et écureuils, plus que par les constructions.
Les enfants ont baptisé leur escargot Max et Anne, après que les enfants ont appris l’hermaphrodisme des gastéropodes.
Au restaurant du musée.
La chasse aux écureuils.
De retour à Helsinki, nous sommes allés visiter la chapelle de Kamppi, aux magnifiques lignes modernes.
Enfin, nous avons fait les boutiques, avec comme point d’orgue Iittala et Marimekko.
Conclusion de la journée, et presque du séjour, dans un restaurant tex-mex bien apprécié des enfants.
Fête des pères aujourd’hui, Isänpäivä en finnois. Les enfants avaient emporté dans leur valise les cadeaux préparés pour Papa. Cadre de pâtes, disque recyclé, diplôme de coupe du monde, que rêver de mieux?
Nous avons passé une bonne partie de la journée à Suomenlina, l’île-forteresse qui protégeait Helsinki. Beaucoup de marche à pied encore, sans entendre les enfants se plaindre. Signe qu’ils grandissent.
Au retour, passage par la place du Sénat, centre historique et touristique de la ville pour une photo de famille (et pour permettre à Maxime de grimper des marches, à défaut de grimper des rochers).
Papa ayant participé à une conférence à Helsinki (pendant que Maman était à Berlin, que Mamie gardait les enfants, et Tonton Thomas les cochonnets), il fut décidé de l’y rejoindre pour le long week-end de Pentecôte -très long même, l’école ayant décrété le mardi journée pédagogique.
Tresja a donc récupéré les enfants à la sortie des classes vendredi, direction l’aéroport en taxi. Il ne leur a pas fallu longtemps pour se rendre compte qu’ils n’étaient pas prêts de partir: entre avarie technique et problème logiciel, le vol était retardé d’heure en heure avant d’être finalement annulé vers 22h. Grosses larmes de Maxime qui voulait vraiment voir la Finlande.
On leur promet quand même un avion pour samedi matin. Dès leur arrivée, on annonce vingt minutes de retard, avant de purement et simplement annuler le vol! Grosse déprime. Veut-on vraiment passer tout le week-end à l’aéroport, à attendre un hypothétique avion? Papa doit-il faire ses valises et revenir en avance? Ces questions ne sont pas résolues que, miracle, on désannule l’avion et procède très vite à l’embarquement. Tout finit bien finalement.
On arrive fatigués à Helsinki: on s’est couchés au delà de minuit la veille, et Marieke somnole dans le bus qui la conduit à l’hôtel.
Les enfants sont restés enfermés si longtemps qu’ils n’ont qu’une envie, se défouler. Nous entamons une longue promenade, Maxime vont passer leur temps à grimper sur tout promontoire digne d’escalade et à courir sur terrain plat.
Au pied d’un brochet géant
Comme tous les ans, Opa et Oma vont passer quelques semaines en camping à la ferme à Winterswijk. Nous les y retrouvons régulièrement, en gîte.
Mais avant de partir, il nous a fallu conduire les cochons d’Inde chez Mamie, puis chez tonton Thomas. car outre le long week-end néerlandais (4 jours grâce au pont de l’Ascension), se profile un long week-end finlandais.
Grosses larmes de Maxime quand il a fallu se séparer, passons.
Les cochonnets chez Mamie.
À Winterswijk, les cousins sont aussi venus rendre visite, pour une journée.
Il y a aussi les petits-cousins, Tijm et Anne. Maxime s’entend très bien avec Tijm, Marieke avec Anne.
Mais il y a surtout beaucoup de chevaux, partout.
Tiens, un veau
Maxime en profite pour faire du sport:
Il faut récupérer le ballon envoyé dans la prairie voisine.
7,2km avec Alianne et Papa. De qui est-on le plus fier? Maman ou Maxime?
Glace garantie sans colorant
Winterswijk est très proche de l’Allemagne, Maxime a insisté pour y passer au retour. Et Papa se fait toujours un plaisir de rouler sur les autoroutes allemandes. Même si l’œil noir de Maman l’a empêché d’aller au-delà d’un très raisonnable 160km/h. Maxime a trouvé l’Allemagne très belle, et une source d’inspiration pour Minecraft.