Dimanche dernier, c’était la journée sans voitures (on y reviendra, quand Papa aura rattrapé son retard ici). En fin de journée, Marieke s’est enfin décidée à se lancer à vélo sans les petites roues. Armée du gilet magique avec une poignée dans le dos, il a suffi de quelques tours de pédales pour qu’elle nous montre qu’elle était tout à fait capable de rouler toute seule.
Maxime a gagné son sprint
Même plus besoin d’accompagner Marieke qui fait des allers-retours toute seule
La montagne, 4 et fin, Marieke sauvée des eaux
Pour attaquer la deuxième semaine des vacances, nous avons encore fait une belle randonnée. Pas mal de dénivelé, mais des enfants courageux.
Puis Clovis est venu passer le reste des vacances avec nous. Lui aussi s’est mis à la randonnée. Longue descente aux Houches, pendant laquelle le tonnerre nous a un peu inquiété mais s’est finalement éloigné en ne nous envoyant que quelques gouttes.
Au retour nous sommes allés voir Papy et Zoé, en villégiature à Chamonix. Les enfants en ont profité pour piquer une tête dans la piscine.
Frayeur quand Marieke a perdu son flotteur. Papy était déjà sorti de l’eau, Maman a dû plonger toute vêtue dans la piscine pour sortir la tête de Marieke de l’eau. Plus de peur que de mal en fin de compte.
Dans les jours qui ont suivi, nous sommes allés au cirque avec Carl et Martijn, avons croisé des vaches sur la route, et surtout, avons fait de la trottinette!
Maxime a 7 ans
Sept ans, et sûrement pas toutes ses dents. Mais de la raison nous dit-on.
Anniversaire tranquille, passé à quatre. Nous sommes allés voir passer Paris-Bruxelles (qui ne s’appelle plus Paris-Bruxelles et qui ne part plus de Paris) avant de souffler les bougies.
Maxime a reçu une montre, un livre, une toupie Lego et un maillot de l’équipe nationale de football… belge. Car le bougre se considère belge. Il était jusqu’il y a peu trop jeune pour vraiment comprendre le concept de nationalité. Depuis quelques semaines, il en parle et, le football aidant, nous a dit qu’il se considérait d’abord belge, avant d’être français et néerlandais. C’est surprenant car nous n’avons que peu de connaissances belges et il est dans une école plus néerlandaise que flamande. Mais ça n’est pas surprenant dans le sens où il est né en Belgique, y a toujours vécu, et est bien parti pour y rester encore pas mal de temps. Soyons dès lors heureux qu’il se sente bien là où il est, alors qu’il pourrait se sentir expatrié.
Bon, en attendant, il va falloir que j’aille vite à l’ambassade de France faire refaire son passeport qui vient d’arriver à expiration…
La montagne 3, Carl et Martijn
Il y a cinq ans, nous logions dans le chalet de Sean et Sinead aux Houches. Ce sont cette année Carl et Martijn qui l’occupaient. Nous sommes donc allés leur rendre visite puis sommes tous ensemble allés à la réserve animalière de Merlet.
Retour au chalet pour un barbecue pendant que les enfants piquent une tête.
Le lendemain, nous sommes montés à l’aiguille du midi. Beaucoup de vent là-haut!
Dimanche, c’est la fête au village, à St Nicolas. Marieke s’essaie au cheval, Maxime préfère le tir.
En soirée, Bob et Adélaïde sont venus nous rendre visite et nous avons assisté ensemble au feu d’artifice, une première pour les enfants. Marieke a eu un peu peur au début, mais a vite été rassurée et elle a en fin de compte, tout comme Maxime, trouvé ça magnifique.
La montagne, 2e partie, en Italie
Maxime rêvait d’Italie, le tunnel du Mont Blanc nous permet d’y être en à peine une heure, nous sommes allés passer une journée à Aoste.
Des pâtes…
des pizzas…
des glaces…
et des ruines.
Aoste est en bordure des Alpes, ça monte et ça descend de manière très douce en ville. L’idéal pour faire de la trottinette!
Et Maxime trouve toujours quelque chose pour faire des figures.
Le lendemain, nous avons fait une nouvelle promenade. Cette fois-ci, nous sommes montés et descendus à pieds. Après les plaintes de rigueur, les enfants ont vraiment bien marché, tout en s’intéressant particulièrement à la faune locale.
Nous ne savions pas si les enfants aimeraient la randonnée, nous craignions même que ce soit un calvaire pour tous; il n’en fut rien, ils ont vraiment apprécié.