Maxime & Marieke
7/9/6 & 1/11/8

Saint-Gilles – Etterbeek: 4-6(4-0) – Molenbeek – Etterbeek: 0-7

On peut s’attendre à tout dans les matches de divisions provinciales (on appelle ça des matches de district en France).

La semaine dernière, Etterbeek se déplaçait à Saint-Gilles. Quand on club se déplace à Bruxelles, il ne s’agit pas que d’une équipe: toutes les équipes de tous les niveaux jouent les unes contre les autres le même jour. U8 A&B et U9 A&B à 9h30, U10 et U11 à 11h, etc.

Maxime, U9B, entame donc son match contre Saint-Gilles U9B. Et c’est dur. Maxime a beau sortir un grand match (son meilleur depuis le début de la saison), les autres sont vraiment trop forts. Tactiquement et techniquement, ils sont un cran au-dessus.

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Une rumeur se met alors à courir derrière les barrières. Il y aurait une erreur, l’équipe B serait en train d’affronter les A (et vice-versa). Ceci explique cela. Fin du premier quart temps, 4-0 pour Saint-Gilles, il faut arrêter les frais. Changement de terrain, on reprend à zéro face à Saint-Gilles B. Et il n’y a pas à dire, c’est plus simple. Etterbeek enfile les buts et mène facilement 5 à 1. Même Maxime a failli marquer sur un dégagement puissant que le gardien adverse a eu toutes les peines du monde à détourner sur son poteau.

Le match était trop facile, l’équipe s’est déconcentrée et les dernières minutes ont été dures. Saint-Gilles est remontée jusqu’à 5-4 avant qu’Etterbeek n’arrive à sceller le score dans les dernières minutes sur un but pourtant complètement invalide. 6-4.

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Aujourd’hui, on joue à Molenbeek. Et ils n’ont pas de joueur. C’est la fête de l’Aïd, et peu des Musulmans ont fait le déplacement. Ils ont quand même réussi à monter une équipe avec six joueurs qui traînaient dans le coin et un entraineur qui passait par là mais ne connaissait pas les joueurs. Bref, une catastrophe. Maxime s’ennuie dans se cages et ne reçoit quasiment aucun ballon. 7-0 à la mi-temps, on laisse le terrain à l’équipe A pour qu’elle n’ait pas fait le déplacement pour rien. Molenbeek faisait plus office de punching ball que d’adversaire aujourd’hui.

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