Maxime fait le perroquet depuis pas mal de temps. Maintenant, il fait aussi le mime, en imitant nos poses ou nos mouvements.
Que je croise mes bras, et il m’imite aussitôt :
Et au téléphone, on croirait un petit adulte :
Mais la situation la plus cocasse, dont je n’ai malheureusement pu prendre de photo, a eu lieu la semaine dernière à Genève. Sur une petite place, une dame fumait une cigarette, immobile. Maxime vint alors se poster à côté d’elle, mit les doigts en V, comme s’il tenait une cigarette, et commença à souffler.
Preuve que nous devons faire attention non plus seulement à ce que nous disons, mais aussi à ce que nous faisons.
Mais promis !, ce n’est pas moi que Maxime imite quand il suce ses doigts après les avoir mis dans le nez ! Peut-être apprend-il cela à la crèche ? La crèche, parlons-en. Le retour s’est bien passé, lundi sans larmes, mardi un petit peu plus difficile.
Lili et Lola ont été enchantées de revoir Maxime. La maman de Lili m’a dit qu’elle avait dès son arrivée vu que Maxime était revenu en repérant son casque dans l’armoire. Quant à Lola, elle n’avait d’yeux que pour lui, ne le lâchant ni d’une semelle ni du regard…
C’était aujourd’hui le dernier jour à la crèche de Simon, Anton et Mattias. Amaury partira bientôt aussi. Maxime y est donc désormais un des plus grands.
Ses parents étant à la maternité, Matéo a passé la nuit à la maison. Un peu timide au réveil, il s’est vite décrispé quand il a pris son biberon avec Maxime.
Et comme il a eu un bon petit déjeuner derrière, il n’a plus qu’une envie, recommencer !
Aujourd’hui, Matéo a eu une petite sœur, dont le prénom reste à confirmer (Lola ou Olivia). Félicitations à toute la famille.
Tout le monde est bien rentré à Bruxelles. On a passé de bonnes vacances, même si elles auraient pu être un peu plus longues.
Maxime a profité d’être chez Papy pour bien chanter. Il connaît presque maintenant «Au clair de la lune» en entier.
Et quelques autres photos du manège :
Dimanche, nous sommes allés faire la connaissance d’Eliott, le petit frère de Mia. J’ai encore un peu de mal à trouver la position pour tenir un bébé, mais les gestes commencent à redevenir un peu plus naturels.
Tresja, elle, on a l’impression qu’elle a fait ça toute sa vie.
Mia et Maxime ont bien joué ensemble. Maxime a un peu peur du chien Diesel, mais il commence à s’y habituer.
L’ongle du doigt que Maxime s’était coincé dans une porte il y a plus de deux mois est enfin tombé.
Maxime a prétendu avoir mal dès qu’il l’a vu mais il n’a en fait rien senti. Et dès qu’il a vu que Maman préparait des crêpes, il l’a complètement oublié !
Le retour à la crèche s’est bien passé aujourd’hui, Maxime n’a pour ainsi dire pas pleuré, et tout le monde s’est extasié de la blondeur de ses cheveux.
Maxime a célébré l’ouverture des jeux olympiques de Pékin en s’opposant à la lutte (le sport olympique par excellence) à un panda (l’animal chinois par excellence). Le combat fut rude.
Mais tout est bien qui finit bien, et les adversaires ont fini par s’embrasser.
C’était aujourd’hui le dernier jour des vacances.
Nous sommes allés à Genève où Maxime a pu manger des frites.
Il est aussi monté pour la première fois sur un manège, il a adoré.
Inutile de préciser qu’il n’a pas du tout apprécié de ne pas pouvoir faire plus de tours.
Ce soir, Maxime et Maman ont repris l’avion pour Bruxelles, je les y rejoindrai demain.
Ils ont fait bon voyage, et sont bien arrivés, malgré du retard.
Etonnante coïncidence aujourd’hui : ayant quitté Versoix pour longer le lac, nous nous arrêtâmes à Morges, charmante petites villes à quelques encablures de Lausanne, pour nous y promener.
Là, alors que Maxime jouait à l’eau d’une fontaine, arrive une petite fille accompagnée de sa grand-mère.
En discutant un peu, nous apprenons que la petite fille s’appelle Maxine et est née le même jour que Maxime ! Etonnant. A fortiori un tel jour, car Maxime, et donc Maxine, a aujourd’hui 23 mois, 100 semaines ou 700 jours.
Que dire de Maxime, au passage de la catégorie bébé à la catégorie enfant ? (les vêtements sont ainsi classés, de 0 à 23 mois, bébés, à partir de deux ans, enfants).
- Maxime semble attirer l’attention de beaucoup de monde. Pas un jour, en ces vacances, sans que quelqu’un nous fasse une remarque, comme quoi il est mignon. Est-ce la blondeur de ses cheveux, moins courante dans ses contrées méridionales que chez nous ?, en est-ce la combinaison avec ses yeux bruns, qui lui permet ainsi de sortir de la catégorisation facile d’enfant d’Europe du nord ? Est-ce sa manière d’être toujours très très expressif ?
Son visage ne semble en effet jamais être neutre, ou, mais je ne peux le juger objectivement, est-il tout simplement un très joli petit garçon ?
Il sait en tout cas y faire avec les femmes car bien que n’ayant pris nos habitudes à la boulangerie de Versoix que depuis hier, Maxime s’est déjà vu offir une brioche par la boulangère ce matin.
- Maxime a toutes ses dents de lait (je cite le dentiste de tonton Thomas : “il a terminé l’éruption lactéale”) et semble être assez précoce dans le domaine (c’est a fortiori le cas depuis plusieurs semaines).
- En terme de langues, Maxime est un véritable perroquet, qui semble accumuler de plus en plus de mots dans les deux langues. Même s’il semble avoir une légère préférence pour le français, il connaît beaucoup de mots en néerlandais (qu’il prononce, certes, avec l’accent français). Pour certains mots, il choisira la langue de son interlocuteur (oui/ja, non/nee, glace/ijs, bouche/mond, etc.), pour d’autres, même s’il connaît les deux mots, il a une claire préférence pour l’un d’eux (paard > cheval, manger > eten, ouaf > chien > hond…), et pour d’autres, il ne connaît vraiment qu’une version (frites, pêche, appelmoes pour compote de pommes, ook pour encore,…). Les phrases qu’il forme (encore limitées à deux ou trois mots) ne sont donc pas un “mélange”, comme on le pense trop souvent des enfants bilingues, mais une construction logique en fonction 1-de son interlocuteur, 2-de ses goûts, 3-de ses connaissances : “manger appelmoes” par exemple.
- Puisqu’on parle nourriture, Maxime a une mauvaise manie : ne manger que la mie du pain, et ce de manière très stricte. Résultat, 80% de gâchis.
Mais s’il n’y a que ça, il ne se fera pas prier pour tout manger. Si on lui laisse le choix de ce qu’il souhaite manger, par contre : “frites, glace” répondra-t-il. Déjà des bonnes habitudes…
Nous avons quitté Les Houches pour Versoix, à côté de Genève, où Papy nous accueille dans son appartement pour quelques jours. Maxime était ravi de revoir Papy, et vice versa. D’autant qu’il s’est vu offrir de beaux jouets (camions, tracteur, voitures) et qu’un tricycle lui a même été mis à disposition pour rouler dans les couloirs.
Il nous faut juste faire attention aux voisins : nous ne sommes pas au rez-de-chaussée et je me dois de cacher le vélo avant 9h le matin.
Hier, nous sommes allés à la plage, mais n’avons malheureusement pas eu plus de succès que l’an dernier, et il refuse toujours de mettre les pieds dans l’eau.
Nous avons donc dû nous contenter de courses dans le parc.
Aujourd’hui, nous sommes allés à Genève et avons acheté des sandalettes à Maxime, afin d’une part de mieux affronter la chaleur et d’autre part de nourrir l’espoir qu’il acceptera finalement de mettre les pieds dans le lac.
La chaleur ne l’empêche en tout cas pas de courir, et il est heureux qu’il soit devenu un as quand il s’agit de boire à la bouteille, ça nous facilite bien l’existence !
Ce soit, Maxime était très triste de savoir que Papy était parti pour la Chine et qu’il ne reviendrait pas avant la fin des vacances…
Alerte il y a deux jours, quand le détecteur de fumée, situé juste au dessus de la porte de la chambre de Maxime, se mit à hurler au milieu de la nuit. Une sirène très forte et stridente, qui nous réveilla bien évidemment en sursaut et nous fit bondir de notre lit, craignant, non pas un incendie, nous n’avions en effet pas vraiment identifié la source du bruit, mais plutôt de ne pas réussir à rendormir Maxime, que nous imaginions déjà paniqué dans son lit. Que nenni ! Maxime ne s’est même pas réveillé. On a souvent dit de moi que je dormais comme une souche, mais à ce point-là…
Quant à la cause de l’alarme, rien de grave, nous l’attribuons à la machine à laver, que nous avions mis en route avant d’aller nous coucher, et qui a dû envoyer un peu trop d’air chaud vers le haut alors qu’elle remplissait sa fonction de sèche-linge.
Randonnée samedi vers les hauteurs des Houches. Paysage très pittoresque que Maxime a pu apprécier pleinement depuis le dos de papa (qui en a encore mal aux épaules).
Il n’a d’ailleurs pas manqué d’immortaliser la promenade.
Pause déjeuner dans les alpages avant de redescendre vers la vallée. Fin de randonnée difficile pour Maxime qui n’arrivait plus à garder les yeux ouverts.
Dans l’après-midi, Maxime a joué à l’eau, tout comme dimanche, journée torride, même si le thermomètre nous semble avoir exagéré un peu !
Il faisait quoi qu’il en soit bien trop chaud pour se promener et nous sommes restés au chalet avant d’aller déguster une glace au village en fin d’après-midi.
Après quelques jours assez actifs, nous avons décidé de nous reposer un peu, Maman en a besoin.
Nous nous sommes donc contentés hier d’aller nous promener à Chamonix en matinée et de rester au chalet l’après-midi, en y installant le bain gonflable de Maxime. Il faut dire que la chaleur (autour de 30 degrés) n’incite pas au mouvement.
Maxime s’est par ailleurs fait quelques amis des chalets environnants et va courir et sauter avec eux quand il entend qu’ils jouent dehors.
Aujourd’hui, nous sommes allés en matinée nous promener dans un parc animalier, qui compte quelques-unes des espèces représentatrices de la région : marmottes (pas vu), chamois, bouquetins, etc. Il y avait une grande surface herbeuse et Maxime a pu bien s’y amuser.
Nous sommes retournés à Chamonix dans l’après-midi pour voir le ciel nous tomber sur la tête. Il a plu une bonne partie de l’après-midi, ce qui nous sied bien étant donné la chaleur des jours derniers… Maxime quant à lui en a profité pour mettre une de ses activités favorites à profit : sauter dans les flaques !
Le tonnerre, par contre, l’a laissé quelque peu perplexe.