Capricieux
Difficile de choisir aujourd’hui le plus capricieux de Maxime ou du temps.
Commençons par Maxime. Première crise de colère ce matin quand il trouve un paquet de bonbons mal caché alors que nous partions faire quelques courses dans une biscuiterie artisanale. Cris et larmes pendant la moitié du trajet. Arrivés, je lui fait promettre de ne rien prendre et de demander à Maminie s’il veut quelque chose. Tout va bien jusqu’à ce que nous achetions un far breton. Il veut le prendre lui-même, je refuse devant le risque de voir un gâteau frais se retrouver par terre. Deuxième crise, nous avons quitté le magasin, y laissant Maminie, j’ai dû user de toutes mes forces pour l’attacher dans son siège, avant de ressortir de la voiture pour préserver mes tympans. Troisième crise après sa sieste quand je refusais de lui donner un yaourt. On remarquera la constante : il se met toujours en colère quand on lui refuse une sucrerie. Aussi gourmand que son père… À part ça, il a été adorable – sauf quand Chloé a refusé de lui donner son vélo, mais il a vite récupéré un tricycle que Chloé a vite voulu échanger quand Maxime lui a fait croire qu’il s’agissait en fait d’une moto !
Venons-en à la météo.
C’est sous un ciel gris que nous nous sommes réveillés (vers 8h30 : Maxime fait de très bonnes nuits et se lève tous les jours entre 8h30 et 9h – je ne m’inquiète donc pas de le coucher trop tôt). Il ne faisait pas chaud, j’ai enfilé un pull à Maxime.
Vers midi, c’est le beau temps qui s’est invité. Après la sieste, c’est donc sous le soleil que nous sommes partis à la plage, pour y trouver un vent à décorner les bœufs. Nous ne sommes restés que quelques dizaines de minutes, le temps pour Augustin et Zoé (et moi-même, je l’avoue), de jouer dans les vagues de cette mer démontée, pendant que Maxime et Mamie étaient frigorifiés sur la plage.
Zoé est bien présente sur cette photo, sous la vague.
Et c’est pourtant sous un chaud soleil que nous sommes rentrés à la maison, à se demander si nous ne bénéficions pas d’un micro-micro-climat !