C’était aujourd’hui le dernier jour de crèche pour Marieke. Une crèche qu’on regrettera et continuera à recommander.

On range les vélos…

On embrasse les copains…

Un bisou à Michel…

Et encore un bisou, mais sur le nez, c’est plus marrant…

Et on ferme!

Nous avons essayé d’expliquer à Marieke que c’était le dernier jour, mais elle ne semble pas avoir compris. Pour elle, c’était un jour comme un autre.

«Je veux rentrer à la maison»

Heureusement, nous sommes à deux pas de la crèche, nous pourrons aller rendre visite de temps en temps et profiter du jardin quand le soleil sera de la partie.

Marieke a passé la semaine avec Papa : Maman était en voyage et Maxime au centre aéré chez Tonton Thomas. Nous en avons profité pour aller à la piscine, Marieke a adoré. Elle a eu peur 5 minutes, mais c’est ensuite lancée sur le toboggan, a mis la tête sous l’eau, et ne voulait plus partir. Nous y retournerons assurément.

Cliché volé dans les vestiaires : c’est normalement interdit de prendre des photos.

Maman n’étant pas là, Marieke a pu choisir elle-même ses vêtements, sous le contrôle bienveillant de papa. Il faut dire qu’elle est obsédée par tout ce qui est rose ou violet et si on la laisse complètement faire, les résultats peuvent être surprenants.

Et pendant ce temps-là, Maxime s’entraîne pour Paris-Roubaix.

Tout le monde suit le Tour à la maison en ce moment.

Mais surtout, on l’imite. Maxime est sans arrêt sur son vélo, levant les bras, commentant ses propres exploits, mimant chutes et mouvements remarquables.

Un Néerlandais était tombé tête la première et se tenait le visage entre les mains.

Une chute parmi d’autres.

Et Marieke s’y met aussi. Sur le vélo de Papa, elle n’arrête pas de crier victoire, et quand elle n’est pas à vélo, c’est à pieds qu’elle imite les coureurs.

Et on n’oublie surtout pas de grimacer comme le vainqueur.

Maxime a fait du yoga la semaine dernière lors de son stage, et il s’est mué à la maison en professeur de yoga.

Et impossible d’y couper, petits et grands doivent suivre Maxime dans des postures de plus en plus acrobatiques.

La souris

Le crabe

Le lion

«La pâte pas cuite» (et donc raide)

«La pâte cuite» (et donc molle)

Et on finit par une ronde.

Tata Vanessa et Tonton Patrice se sont mariés ce week-end. Les photos m’arrivent au compte-gouttes.

Plein de confiseries étaient à disposition des petits et des grands.

Il y avait même des barbes à papa. C’est la première fois que Maxime en mangeait.

Nous étions au Maisnil ce week-end, et c’était la ducasse. Tours de manège et pêche aux canards furent des activités appréciées.

Dans le camion de pompiers, un choix de Maxime

Dans la voiture rose, un choix de Marieke

Maxime a attrapé 7 fois le pompon pendant le week-end, au grand désespoir de Marieke qui ne cessait de pleurnichait qu’elle aussi voulait un bonbon! Elle a fini par comprendre quand Maxime a attrapé deux pompons sur un seul tour et en lui en a donné un.

À la pêche aux canards, plein de lots fantastiques : un avion et une voiture de pompiers pour Maxime, des bijoux et un téléphone roses pour Marieke.

Les enfants ont aussi participé à un lâcher de ballons et ont joué à des jeux traditionnels flamands.

C’est parti!

Papa vient de finir un projet qui l’a tenu éveillé tard tous ces derniers soirs et l’a empêché de mettre à jour le blogue. On aurait aimé vous parler du pyjama de Maxime…

de l’anniversaire d’Alexandre à la campagne…

de la visite de Tam et Charlie…

du buffet organisé par l’atelier-cuisine à l’école…

du dernier atelier-musique de Marieke…

des fresques de Maxime…

du goûter de fin d’année à l’école…

de la naissance d’un huitième cousin…

Huit cousins, soit le nombre de cousins de papa, à la puissance 3! On y reviendra bien sûr.

des séances de piscine avec Maxime, qui n’a plus peur de l’eau…

de clafoutis aux cerises…

d’une super-journée avec Egon…

Mais ce serait long et plus très frais, alors on se contentera pour l’instant de parler de Kali. Kali est le cairn terrier de Jen et est venu passer l’après-midi à la maison hier. Nous avons multiplié les promenades, les enfants ont adoré. Marieke a voulu s’en servir de cheval, en essayant de s’assoir dessus, puis de poupée, en l’affublant de tout ce qu’elle a pu trouver dans son mini-lit en bois. Kali, polie, n’a pas bronché.

Petite et bien élevée, elle se laisse même promener par Marieke sans problème.

Vendredi, c’était journée à la mer pour Maxime avec sa classe. En train à Ostende pour notamment aller visiter un bateau.

En attendant le métro

Gare du midi, avec Alexandre.

Nous sommes allés chercher Maxime directement à Ostende, les enfants allaient en effet passer le week-end chez Tonton Thomas et Tata Marie, inutile de multiplier les allers-retours.

Les beignets de la gare d’Ostende.

Arrêt à la station-service, Maxime a eu le droit de conduire entre la pompe et le parking (environ 20 mètres en ligne droite).

Papa et Maman étaient en Angleterre ce week-end, les enfants ont donc logé à Rubrouck.

Samedi matin, en route vers La Panne et Clown City, grand espace de jeu où les parents peuvent lâcher les enfants sans s’en préoccuper.

À 7 dans la voiture!

Maxime pose pour le photographe.

Marieke un peu moins.

Ce toboggan n’est-il pas un peu haut, Maxime ?

Prudence est mère de sureté. Mais pas facile de redescendre par les escaliers.

À table!

Marieke mange lentement, certes, mais finit son assiette jusqu’à l’ultime frite.

Et si on construisait une tour Lego autour de Maxime (qui pose)?

Quel beau sourire!

L’heure du goûter.

Au retour, passage chez la maman de Marie-Aline. Maxime et Marieke lui font la causette en flamand.

Au bain et au lit!

Dimanche, on reste à la maison avec des activités plus calmes.

L’heure de la sieste.

Le ramassage des œufs.

Lundi, férié, Maxime était invité à la fête de départ d’Antonia qui déménage dans quelques jours.

Marieke, elle, est restée à la maison. Et il faut croire qu’elle était fatiguée, elle s’est endormie en faisant un puzzle.

Voir tous les grands-parents sur un seul week-end, ça n’est pas chose courante. Mais le week-end de l’Ascension compte double, et nous avons passé jeudi et vendredi avec Papy et Mamie et samedi et dimanche avec Opa et Oma, dont c’était les anniversaires.

Quel bonheur: Mamie a sorti ses bijoux.

La récolte des framboises.

Maxime a eu le droit de rouler sur la route. Il en parle encore.

Fatigués

De France, direction les Pays-Bas pour rendre visite à Opa et Oma, en camping à la ferme.

On a même le droit de jouer à l’eau!

Les temps sont parfois un peu durs pour Marieke: on espérait que son plus jeune âge lui aurait permis de ne pas trop souffrir du départ de Paula et Javier, il n’en est rien. Elle a du mal à comprendre qu’ils sont partis mais se rend tout à fait compte qu’on ne les voit plus. Deux fois ce week-end, elle a dit, au bord des larmes, qu’elle était triste et il a fallu à chaque fois une bonne heure à Tresja pour la consoler. Heureusement, elle s’est fait de nouvelles amies à la crèche, et Marieke et Juliette sont désormais aussi inséparables que l’étaient Marieke et Olivia.

Nous avons profité du très beau temps lundi pour passer une heure au jardin avec les enfants. Pendant ce temps, Maxime jouait avec Cyril, le fils de Michel.

Ce week-end, Maxime est allé à l’anniversaire de Lise. On pouvait se faire maquiller, Maxime a demandé à être maquillé en chevalier. La perplexité de la maquilleuse l’a incité à opter pour le pirate.

Chevalier, c’est du costume, et c’est à la maison.

Maxime avait fait le trajet entier jusqu’au parc de Forest à vélo. Au retour, Papa a dû tout prendre sur le sien (pirate et vélo).

Marieke, elle, se débrouille de mieux en mieux et sait maintenant pédaler seule sur son tricycle. Malheur à qui ose la pousser.

Ce week-end, c’était aussi la brocante dans le quartier, et une mauvaise humeur généralisée pour cause de réveil bien trop matinal. Résulat, on ne tient pas l’après-midi.

En ce moment, les enfants sont fascinés par les nombres. Dès que Marieke voit un groupe de plus d’un élément, elle s’écrie: «Y a deux! cinq, six, sept, huit, neuf, onze, six!»

Maxime, lui, est plus attiré par les grands nombres et les additions: «Papa, ça fait combien un plus mille ? Et deux plus mille ?» quasi-quotidiennement suivi par un «Papa, tu comptes jusqu’à mille ?» que j’ai systématiquement refusé.

Autre conversation hier : «Papa, ça fait combien quatre plus quatre ?
-8

-Et huit plus huit?
-16

-Et seize plus seize?
-32

-Et trente-deux plus trente-deux?
-64

-[grand sourire] Et soixante-quatre plus soixante-quatre?
-128

-[Maxime se met à rire] Et cent vingt huit plus cent vingt huit?
-256

-[Maxime rit à gorge déployée, et n’arrive presque plus à prononcer des nombres de plus en plus longs] Et deux cent cinq six plus deux cent cinq six?
-512»

Fin de conversation, Maxime rit aux éclats.

Nous avons reçu la photo de classe aujourd’hui.

De gauche à droite, debout: Joy, Elsa, Maxime, Raphaël; assis: Marie-José, Alexandre, Nastia, Emil, Antonia, Mathéo, Mahault, Emiliano, Victor, Sandra, Yao.

«Papa, tu comptes jusqu’à mille?»