Première vraie journée de vacances aujourd’hui. Pas de pluie, nous avons passé une bonne partie de l’après-midi à la plage. Du vent, mais le pare-vent nous en a protégé, à la grande joie de Marieke qui a beaucoup aimé ce premier contact avec le sable.
Maxime, lui, est allé à l’eau, a fait un château avec Papa, puis s’est fait construire un circuit pour son camion par un fort sympathique voisin de plage.
Très bonne journée donc, et très bonne soirée, où Maxime a mangé comme rarement il le fait, ne laissant quasiment rien dans son assiette.
C’est au moment d’aller se coucher que les choses se sont gâtées. De larmes peut-être sincères, Maxime est vite passé au caprice, ne voulant pas dormir, se relevant sans cesse de son lit et hurlant dans sa chambre (après pourtant avoir reçu moult lectures, chansons, bisous et calins). N’arrivant pas à lui faire entendre raison, et n’ayant plus que peu de moyens de pression, il m’a fallu recourir à la fessée : couche baissée et trois coups secs sur les fesses. Ça a marché.
Mannekenpis
Marieke a eu neuf mois hier. Toujours pas de dents, mais elle commence à accepter de faire des efforts pour se tenir sur ses jambes, et passe désormais pas mal de temps assise.
Marieke et Maxime sont rentrés de leur semaine chez Opa et Oma, nous attendons photos et texte.
Nous avons entamé notre deuxième quinzaine bretonne hier. Journée noire sur les routes de France, nous sommes partis en milieu d’après-midi et n’avons jamais eu route aussi dégagée. Le voyage s’est bien passé, les enfants ont bien tenu le coup. Arrivés à minuit, la journée d’aujourd’hui a été une journée de transition pour nous récupérer.
Nous sommes quand même allés à la plage, sans avoir l’intention d’aller dans l’eau. Maxime y a cependant tenu et s’est complètement déshabillé pour tremper les pieds.
Il a aussi pris une pose désormais célèbre.
Météo bretonne : pluie – soleil – pluie – soleil.
Connexion internet très lente, le nombre de photos sur le blog sera donc par la force des choses limité jusqu’à amélioration.
Maxime au camping
Tresja m’a promis d’écrire son séjour au camping avec Maxime, mais en attendant, en voici des photos.
En attendant le taxi
Dans le train
Maxime dessine un avion (nous ne l’avions jamais vu dessiner si bien)
Au camping
À la piscine du camping avec Paul
Avec les cousins
En voiture, en route pour aller rechercher Maxime
Des nouvelles pas très neuves : retour à la crèche
Les week-ends et les vacances m’ont fait omettre de parler de la visite de Maxime à la crèche il y a quelques semaines. Nous avions maintes fois promis d’y retourner mais n’avions jamais trouvé le temps.
Nous y avons remédié quelques heures avant notre week-end sur la Côte d’Azur. Heureux de revoir Cindy et Hasna, Maxime a malheureusement joué au grand timide et n’a pas souri pour les photos.
Nous avons aussi pu contempler la nouvelle, et très belle prairie fleurie qui se trouve à l’entrée de la crèche.
Retour à Bruxelles
Nous sommes bien rentrés de Bretagne, après un long voyage en voiture. Maxime était très content de revoir Tresja. Il a par contre fallu un certain temps à Marieke pour s’assurer que nous étions bien qui nous prétendions être. Certes elle nous souriait, mais ne sourit-elle pas à tout le monde ? Elle n’osait en tout cas pas vraiment nous regarder dans les yeux. Ça a duré une journée et tout est rentré dans l’ordre.
Demain, Maman et Maxime partent en train rejoindre tante Aleth pour faire du camping aux Pays-Bas…
Mama en Marieke alleen thuis
Lieve Marieke, het is zaterdagmiddag en je ligt lekker te slapen. Vanavond komen papa en Maxime weer thuis van vakantie. Jij bent nog te klein, maar mama heeft ze erg gemist. Maxime heeft nu bijna wit haar en spreekt alleen nog maar Frans.
Wij hebben het samen ook erg leuk gehad meisje van me. Je bent nu ruim 8 maanden en het is de eerste keer dat mama weer helemaal alleen is met Marieke. Je bent dol op knuffelen en vindt het maar wat gezellig bij mama in bed. Het was de eerste week erg warm in je kamer en al snel mocht je beneden bij mama slapen. Meestal werd je rond zeven uur wakker en nam mama je lekker in bed. Zo nu en dan voelde ik dan een handje op mijn gezicht en hoorde ik geluidjes van plezier. Meestal viel je weer in slaap.
Huilen doe je ook bijna niet – alleen als je moe bent of honger hebt.
Je slaapt heerlijk: van 7 uur ‘s avonds tot 7 uur ‘s morgens. Op het kinderdagverblijf ben je een zonnetje: je lacht veel en rolt het liefst van de ene naar de andere kant. Je bent erg dol op Cloe en Nathalie en hoeft nooit te huilen als mama ‘s morgens weer vertrekt. Het waren soms wel lange dagen voor je maar het ging heel goed. Je hebt ook je eigen stemmetje ontdekt en kan heel goed schreeuwen: het liefst hard en met een heel scala aan geluidjes. Je ‘oefent’ veel en op de crèche moest een kindje erg om je huilen.
We hebben heel veel gewandeld. Het was heerlijk weer. Nynke is ook nog op bezoek geweest en vond je maar een gemakkelijk kindje.
Je hebt ook twee maal gelogeerd bij Paula en Javier toen mama een feestje had en voor het werk naar Italie moest. Mateo is erg dol op je en geeft je heel veel kusjes en speelt met je haar. Je bent niet meer zo donker, maar krulletjes heb je nog steeds. Je oogjes veranderen nog steed van kleur: ze worden nu toch wel bruin met een klein beetje groen – net als papa.
Vanmiddag gaan we boodschappen doen en een taart maken om te vieren dat papa en Maxime weer thuis zijn. Ik heb heerlijk twee weken van je mogen genieten en ga het wel missen. Meestal moet je het afleggen tegen je broertje en krijg je niet altijd de aandacht die je verdient, maar de afgelopen weken waren helemaal voor Marieke. Dag meisje van me. Duizend kusjes.
La fin (de la première partie) des vacances
Notre séjour touche à sa fin, nous repartons demain. À temps : nous n’avons aujourd’hui pas pu, pour la première fois, aller à la mer. Pluie, vent et froid s’étaient en effet donné rendez-vous. Et la sieste de Maxime qui a duré plus de trois heures à achevé de nous convaincre. À temps aussi car nous sentons que les enfants commencent à avoir fait le tour de ce qu’ils peuvent faire et que nous-mêmes (Maminie et moi) seront heureux de rentrer. Mais tout le monde s’est donné rendez-vous pour l’an prochain.
Nous sommes retournés à la ferme aujourd’hui, et Maxime a pu se montrer plus entreprenant que la dernière fois, en n’hésitant pas cette fois-ci à caresser les veaux.
Je retrouve au passage une photo de Maxime prise il y a quelques jours alors qu’il contemplait un crabe sur la plage. Il sait très bien qu’il faut s’en méfier et n’a pas approché ses doigts à distance de pince.
“Un crabe méfie-toi, ça pince, ça pince, un crabe méfie-toi attention à tes doigts!”
En soirée, nous sommes retournés une dernière fois à la crêperie. Maxime s’y est régalé d’une crêpe au sucre, des frites laissées par Zoé et d’une glace à la vanille. Rien que ça.
Il a fallu faire enfin les adieux à ses nouveaux amis, en particulier Jonathan et Marine, de nombreuses années ses aînés, mais avec lesquels il a passé une excellente quinzaine.
Demain, la route!
Et retour en Bretagne dans… deux semaines (du Nord cette fois).
Promenade dans les arbres
Il y a à deux pas de notre lieu de villégiature un parc forestier proposant des parcours acrobatiques en hauteur. Nous y avons passé la matinée, au grand bonheur des enfants. Rappel, tyroliennes, sauts de Tarzan n’ont plus de secrets pour Zoé et Augustin qui se ont élevés jusqu’à 12m du sol.
Maxime, lui, a suivi le parcours du village des lutins. Il a été proclamé champion du pont suspendu et de la marche sur rondins. Il en est très fier.
Cet après-midi, à la plage, Maxime a bu sa première tasse ! Il a trébuché et s’est retrouvé le nez dans l’eau. Je lui tenais la main (comme toujours) et il n’y est pas resté longtemps, mais assez pour boire un peu d’eau.
Nous nous sommes ensuite entrainés à faire des exercices de cirque, en particulier d’empilements humains (Zoé est particulièrement douée pour ce type d’acrobaties).
Visite au château
Passant tous les jours pour nous rendre à la plage devant le château de Suscinio, en son temps (XIIe-XIVe s.) résidence préférée des ducs de Bretagne, nous avions décidé il y a quelques jours d’en faire la visite.
Les enfants ont apprécié, malgré les nombreuses marches à monter et descendre. Ils ont été particulièrement marqués par… les latrines, et les pigeons vivant sur les murs.
Dans l’après-midi, retour à la plage. Mer encore bien agitée, malgré le très beau temps, et si Maxime a mis les pieds dans l’eau, il a surtout essayé de faire des ricochets.
Capricieux
Difficile de choisir aujourd’hui le plus capricieux de Maxime ou du temps.
Commençons par Maxime. Première crise de colère ce matin quand il trouve un paquet de bonbons mal caché alors que nous partions faire quelques courses dans une biscuiterie artisanale. Cris et larmes pendant la moitié du trajet. Arrivés, je lui fait promettre de ne rien prendre et de demander à Maminie s’il veut quelque chose. Tout va bien jusqu’à ce que nous achetions un far breton. Il veut le prendre lui-même, je refuse devant le risque de voir un gâteau frais se retrouver par terre. Deuxième crise, nous avons quitté le magasin, y laissant Maminie, j’ai dû user de toutes mes forces pour l’attacher dans son siège, avant de ressortir de la voiture pour préserver mes tympans. Troisième crise après sa sieste quand je refusais de lui donner un yaourt. On remarquera la constante : il se met toujours en colère quand on lui refuse une sucrerie. Aussi gourmand que son père… À part ça, il a été adorable – sauf quand Chloé a refusé de lui donner son vélo, mais il a vite récupéré un tricycle que Chloé a vite voulu échanger quand Maxime lui a fait croire qu’il s’agissait en fait d’une moto !
Venons-en à la météo.
C’est sous un ciel gris que nous nous sommes réveillés (vers 8h30 : Maxime fait de très bonnes nuits et se lève tous les jours entre 8h30 et 9h – je ne m’inquiète donc pas de le coucher trop tôt). Il ne faisait pas chaud, j’ai enfilé un pull à Maxime.
Vers midi, c’est le beau temps qui s’est invité. Après la sieste, c’est donc sous le soleil que nous sommes partis à la plage, pour y trouver un vent à décorner les bœufs. Nous ne sommes restés que quelques dizaines de minutes, le temps pour Augustin et Zoé (et moi-même, je l’avoue), de jouer dans les vagues de cette mer démontée, pendant que Maxime et Mamie étaient frigorifiés sur la plage.
Zoé est bien présente sur cette photo, sous la vague.
Et c’est pourtant sous un chaud soleil que nous sommes rentrés à la maison, à se demander si nous ne bénéficions pas d’un micro-micro-climat !