Encore une visite de château aujourd’hui, à deux pas de la maison, un magnifique château (privé et habité), avec de très beaux jardins (sur pilotis) et des grottes préhistoriques dans la forêt du domaine.
Maxime a donc sorti son équipement de chevalier et s’est empreint de la gravité qui sied car les chevaliers, dit-il, ne rient pas.
Les princesses, elles, ont le droit de sourire nous apprend Maxime.
À la fin de la visite, des jeux traditionnels. Pas forcément traditionnels de Charente Maritime par contre, car on retrouve le billard hollandais, fourni par une société de Sailly sur la Lys.
Après le repas, un tour en calèche tractée par Gitane.
Finie la pause, les affaires sérieuses reprennent pour le chevalier Maxime.
Nous voici aux grottes. On meurt d’envie de s’enfoncer dans les galeries, mais on n’ose s’aventurer plus de quelques mètres.
Retour à la maison en fin de journée et tout le monde à la piscine sur insistance des enfants. Maxime a de moins en moins peur de l’eau, Marieke adore toujours ça.
Nous avons profité de la première journée de beau temps pour nous promener autour du gîte hier. Il y a des mûres partout.
Papa est ensuite allé courir, accompagné de Maxime à vélo. Il a réussi à suivre pendant deux kilomètres (Papa, lui, s’est quelque peu perdu et a couru 14 km alors qu’il n’en avait prévu qu’environ la moitié).
Aujourd’hui, nous sommes allés rendre visite à Anne, Nicolas et Martin (ce sont des prénoms à la mode, il nous faut préciser le nom, ce sont les Rimbaux) qui passent leurs vacances à quelques kilomètres de chez nous.
Après le repas, nous avons marché jusqu’à la plage pour une première trempette océanique. Beaucoup de vent mais température de l’eau agréable. Papa et Maxime ont bien couru en lisière des vagues, pendant que Marieke faisait des pâtés de sable.
Pleins de sable, c’est un bon bain qui les a accueillis de retour à la maison.
Nous passons cette année nos vacances en Charente Maritime. Partis hier du Maisnil, nous avons passé la nuit à Chenonceaux.
Nous avons réussi à éviter le gros des embouteillages, et le mauvais temps, et sa fraîcheur, ont facilité le voyage aux enfants. Nous sommes arrivés dans l’après-midi au gîte à Romegoux sous une pluie battante. Il a fallu batailler pour convaincre les enfants d’attendre la fin de l’averse pour plonger dans la piscine!
C’était aujourd’hui le dernier jour de crèche pour Marieke. Une crèche qu’on regrettera et continuera à recommander.
On range les vélos…
On embrasse les copains…
Un bisou à Michel…
Et encore un bisou, mais sur le nez, c’est plus marrant…
Et on ferme!
Nous avons essayé d’expliquer à Marieke que c’était le dernier jour, mais elle ne semble pas avoir compris. Pour elle, c’était un jour comme un autre.
«Je veux rentrer à la maison»
Heureusement, nous sommes à deux pas de la crèche, nous pourrons aller rendre visite de temps en temps et profiter du jardin quand le soleil sera de la partie.
Marieke a passé la semaine avec Papa : Maman était en voyage et Maxime au centre aéré chez Tonton Thomas. Nous en avons profité pour aller à la piscine, Marieke a adoré. Elle a eu peur 5 minutes, mais c’est ensuite lancée sur le toboggan, a mis la tête sous l’eau, et ne voulait plus partir. Nous y retournerons assurément.
Cliché volé dans les vestiaires : c’est normalement interdit de prendre des photos.
Maman n’étant pas là, Marieke a pu choisir elle-même ses vêtements, sous le contrôle bienveillant de papa. Il faut dire qu’elle est obsédée par tout ce qui est rose ou violet et si on la laisse complètement faire, les résultats peuvent être surprenants.
Et pendant ce temps-là, Maxime s’entraîne pour Paris-Roubaix.
Tout le monde suit le Tour à la maison en ce moment.
Mais surtout, on l’imite. Maxime est sans arrêt sur son vélo, levant les bras, commentant ses propres exploits, mimant chutes et mouvements remarquables.
Un Néerlandais était tombé tête la première et se tenait le visage entre les mains.
Une chute parmi d’autres.
Et Marieke s’y met aussi. Sur le vélo de Papa, elle n’arrête pas de crier victoire, et quand elle n’est pas à vélo, c’est à pieds qu’elle imite les coureurs.
Et on n’oublie surtout pas de grimacer comme le vainqueur.
Maxime a fait du yoga la semaine dernière lors de son stage, et il s’est mué à la maison en professeur de yoga.
Et impossible d’y couper, petits et grands doivent suivre Maxime dans des postures de plus en plus acrobatiques.
La souris
Le crabe
Le lion
«La pâte pas cuite» (et donc raide)
«La pâte cuite» (et donc molle)
Et on finit par une ronde.
Tata Vanessa et Tonton Patrice se sont mariés ce week-end. Les photos m’arrivent au compte-gouttes.
Plein de confiseries étaient à disposition des petits et des grands.
Il y avait même des barbes à papa. C’est la première fois que Maxime en mangeait.
C’est les vacances, nous avons inscrit Maxime à un stage (un centre aéré, dans le dialecte local). Animé par une maman très impliquée à l’école, Maxime y retrouve des camarades et s’y plaît bien. On l’a affublé du surnom de «Monsieur Rigolo», en référence à ce qu’il répète sans arrêt que ceci ou cela est rigolo.
Aujourd’hui, c’était le spectacle de fin de stage (les stages durent une semaine, Maxime en fait un autre la semaine prochaine), les enfants s’étaient fabriqué des déguisements d’oiseaux.
De retour à la maison après le stage, Maxime suit avec moi l’arrivée de l’étape du Tour.
Ce sont les chutes qui l’intéressent le plus, et il est cette année servi. Il y a quelques jours, après avoir vu un coureur allongé sur la chaussée pendant de longues minutes suite à une collision avec une barrière, il est allé chercher ses crayons pour retranscrire la scène.
Au premier plan, allongé le long de la barrière, Ivan Velasco, de l’équipe Euskaltel-Euskadi, les larmes aux yeux et le bras cassé. À droite, le médecin pleure lui aussi. Au-dessus, les croix de l’hôpital, en haut à gauche, le perroquet de l’hôpital (sic).
Nous avons décidé d’envoyer le dessin au coureur (qui a depuis abandonné, espérons que son équipe fasse suivre).
Le lendemain, il a réinterprété la scène, avec un peu plus de couleurs cette fois.
Le médecin ne pleure plus, il a un stéthoscope, et le coureur saigne du bras.
Nous étions au Maisnil ce week-end, et c’était la ducasse. Tours de manège et pêche aux canards furent des activités appréciées.
Dans le camion de pompiers, un choix de Maxime
Dans la voiture rose, un choix de Marieke
Maxime a attrapé 7 fois le pompon pendant le week-end, au grand désespoir de Marieke qui ne cessait de pleurnichait qu’elle aussi voulait un bonbon! Elle a fini par comprendre quand Maxime a attrapé deux pompons sur un seul tour et en lui en a donné un.
À la pêche aux canards, plein de lots fantastiques : un avion et une voiture de pompiers pour Maxime, des bijoux et un téléphone roses pour Marieke.
Les enfants ont aussi participé à un lâcher de ballons et ont joué à des jeux traditionnels flamands.
C’est parti!
