Rejoindre Helsinki
Papa ayant participé à une conférence à Helsinki (pendant que Maman était à Berlin, que Mamie gardait les enfants, et Tonton Thomas les cochonnets), il fut décidé de l’y rejoindre pour le long week-end de Pentecôte -très long même, l’école ayant décrété le mardi journée pédagogique.
Tresja a donc récupéré les enfants à la sortie des classes vendredi, direction l’aéroport en taxi. Il ne leur a pas fallu longtemps pour se rendre compte qu’ils n’étaient pas prêts de partir: entre avarie technique et problème logiciel, le vol était retardé d’heure en heure avant d’être finalement annulé vers 22h. Grosses larmes de Maxime qui voulait vraiment voir la Finlande.
On leur promet quand même un avion pour samedi matin. Dès leur arrivée, on annonce vingt minutes de retard, avant de purement et simplement annuler le vol! Grosse déprime. Veut-on vraiment passer tout le week-end à l’aéroport, à attendre un hypothétique avion? Papa doit-il faire ses valises et revenir en avance? Ces questions ne sont pas résolues que, miracle, on désannule l’avion et procède très vite à l’embarquement. Tout finit bien finalement.
On arrive fatigués à Helsinki: on s’est couchés au delà de minuit la veille, et Marieke somnole dans le bus qui la conduit à l’hôtel.
Les enfants sont restés enfermés si longtemps qu’ils n’ont qu’une envie, se défouler. Nous entamons une longue promenade, Maxime vont passer leur temps à grimper sur tout promontoire digne d’escalade et à courir sur terrain plat.
Au pied d’un brochet géant