La cacabane
Papa a découvert par hasard, et aussitôt acheté, une «cacabane» pour les enfants: une cabane en carton destinée par ses créateurs à y installer le pot, d’où son nom, mais avant tout une cabane pour les enfants.
À deux dedans, on est serrés!
Maxime y prend ses petits déjeuners
Il y va aussi pour trouver le calme quand il lit.
Tresja avait beaucoup de travail cette semaine, c’est tata Vanessa et tonton Patrice qui sont venus donner un coup de main à papa. C’était Maminie qui devait venir, mais la fracture du col du fémur de Mémé Busnettes l’a obligée à renoncer. Maxime, qui décomptait depuis plusieurs jours, a d’abord été déçu, mais il a vite été réconforté, entre autres par la présence de Duffy.
Papa ne peut pas encore faire de telles acrobaties, c’est tonton Patrice qui s’y colle.
Tata Vanessa est moins ambitieuse mais fait tout autant rire Marieke.
Ce qui est bien quand on a des visiteurs, c’est qu’on découvre de nouvelles choses. Un peigne par exemple.
Marieke décide de se faire une coiffure très années 80.
Avant de s’attaquer à la chevelure de tata.
Des cheveux si longs, il n’y a pas à dire, c’est marrant.
Relation compliquée entre Marieke et Duffy, entre crainte et attraction. Elle voulait en tout cas tenir la laisse.
Nous avons eu ce week-end la visite de Nynke et Jeannine. Papa ne peut toujours pas faire faire d’acrobaties à Maxime, c’est Jeannine qui prend le relais.
Dans la série des visites, Ann et Nicolas sont aussi passés il y a quelques jours, et ont par ailleurs aidé papa à supporter Maxime, complètement hyperactif hier (hyperactif, donc vilain, donc des larmes à la fin).
C’est l’automne, nous profitons des dernières occasions d’aller au parc. Et il faisait très beau aujourd’hui.
Le gant de papa, c’est pour calmer une main douloureuse.
Marieke adore jouer dans le bac à sable.
Marieke apprend à se moucher.
Tout le monde sait que les dinosaures en plastique adorent la natation.
Quand il fait moins chaud, on se couvre mais on va quand même au parc.
Sauf bien sûr si le temps est humide, on se contente alors de sauter dans les flaques.