Frayeur partagée
Nous sommes allés au parc cet après-midi profiter de l’été qui nous a fait le plaisir de nous rendre visite ce week-end.
Javier et Matéo étaient là, les enfants en ont profité pour jouer ensemble, au ballon, au cheval à bascule, à la course et à montrer leurs ventres.
Quand Javier a commencé à faire tourner Matéo, je me suis dit que je préférais lancer Maxime en l’air.
Maxime ne pèse plus cinq kilos, et j’avais du mal à vraiment le faire décoller. Alors, pour ma dernière tentative, j’y ai mis toutes mes forces.
Voyez le visage de Maxime, ça ne lui plaît pas. Et moi-même, je me rends compte à ce moment-là que j’y suis peut-être allé un peu fort, mais la situation est encore sous contrôle. C’est au moment de le rattraper que j’ai glissé. J’ai quand même réussi à lui mettre les mais sous les aisselles et arrêter la descente au moment où ses pieds touchaient le sol. Aucun mal donc, mais une vraie frayeur (rétrospective pour moi).
J’attends déjà les remontrances de Mamini…