Une nuit difficile (pas la première, sûrement pas la dernière)
Ça avait mal commencé : Maxime, qui normalement dort bien de 19 heures-19h30 à minuit s’était réveillé plusieurs fois autour de 9-10 heures. Un peu enrhumé, il semblait gêné pour respirer. Et alors que nous devons d’ahabitude le réveiller vers 23h30 pour son dernier biberon, il s’était réveillé lui-même à 23 heures. Nous craignions la suite, avec raison.
Maxime a commencé à pleurer peu après trois heures. Comme souvent dans de telles circonstances, je suis dans un état un peu second, coincé entre un demi-sommeil et un demi-rêve et je ne suis pas toujours tout à fait conscient de l’heure, des circonstances ou de ce que je fais. Là, je m’en souviens, j’ai éteint le baby-phone, pensant peut-être que c’était déjà le matin. Me rendant compte que ça n’était pas le cas, je me suis senti obligé de me lever pour aller voir ce qui se passait (plutôt que de le laisser pleurer un peu, comme nous préférons le faire d’habitude).
Je suis resté dans la chambre de Maxime environ dix minutes, parvenant tant bien que mal à le calmer. À peine étais-je recouché qu’il recommençait à pleurer. Tresja s’est alors levée, pour le même résultat. Quand elle revint, je fis bien attention de lui dire : « tu n’as pas réussi à le calmer non plus ? » car je m’étais bien rendu compte qu’elle n’avait pas entendu que j’étais déjà monté et je me serais fait gronder 😉
Bon, on l’a laissé pleurer un peu et je suis remonté vers 4h30 je crois. Il pleurait vraiment à grosses larmes. Aux grands maux les grands remèdes, je l’ai sorti du lit, et ai joué avec lui pendant une petite demi-heure. Ça a marché.
Et comme par enchantement ce matin, il était tellement fatigué qu’il ne s’est pas réveillé pour son biberon de 6h30-7h. J’ai dû le réveiller à huit heures !
À la crèche, ça ne s’est que moyennement bien passé : Maxime a été un peu malade, fait un peu de fièvre, espérons que ça ne dure pas !
Bon, à 4h du matin, je n’ai bien sûr pas pris de photo, je n’ai donc pas à vous en proposer de Maxime pleurant. En voici donc une qui n’a rien à voir où Maxime regarde son « chou-fleur » d’un peu trop près :
Je ne travaille pas demain, nous allons donc le laisser dormir ce soir, sans le réveiller à minuit. Quitte à être réveillé au milieu de la nuit, autant que ça serve à quelque chose (un biberon en l’occurence).