Une nuit difficile

Journée agitée hier : après avoir battu le record du monde du caca du siècle, avec du caca jusque sous les aisselles, nous avons passé quelques heures avec la famille maternelle de Tresja.

Beaucoup de monde dont pas mal d’enfants. Ça s’est bien passé mais Maxime n’est pas habitué au bruit et au monde et c’est pendant la nuit qu’il a évacué la pression.

Il s’est mis à pleurer à 4h30. Habituellement, il nous suffit de le calmer pour qu’il se rendorme. Là impossible, dès que nous le recouchions, il se mettait à hurler (le mot n’est pas trop fort). Nous avons essayé de le coucher dans notre lit, même résultat. Un massage des pieds l’a calmé cinq minutes, pas une de plus. Chez nous, nous l’aurions sans hésiter laisser crier. Là, il y avait trop de monde dans la maison (les parents de Tresja, sa sœur, son mari et ses deux enfants) pour nous le permettre.

Nous avons donc patrouillé avec lui dans les bras jusqu’à 6 heures, quand nous avons décidé d’avancer l’horaire de son biberon qu’il a volontiers accepté. Nous craignions alors qu’il se remette à crier. Repu, il s’est rendormi jusqu’à 11 heures (et nous jusqu’à 10). ouf !