Maxime & Marieke
7/9/6 & 1/11/8

Archive for the “Maxime” Category

Mývatn

Nous quittons la ferme en emportant avec nous une bonne odeur de vache qui imprègne nos vêtements et nous dirigeons vers Mývatn, un lac truffé de cratères (en fait des pseudocratères, même si je ne me souviens plus bien pourquoi on les appelle ainsi) et entouré de quelques vrais volcans au milieu d’une zone géothermiquement très active. Région idéale pour se promener quand il fait beau, le temps est malheureusement exécrable. Les fermiers nous ont d’ailleurs dit que c’était un très mauvais été dans le nord de l’Islande, particulièrement froid et pluvieux (mais tous les fermiers du monde ne se plaignent-ils pas toujours du temps ?).

Nous sortons quand même de la voiture pour escalader un vrai beau cratère, Hverfell.

3629 6D 20150804

3631 6D 20150804

La pause-pipi étant inévitable au sommet, les enfants qu’ils pourront se vanter d’avoir fait pipi dans le cratère d’un volcan, certainement les seuls enfants de leur école à l’avoir fait.

3633 6D 20150804

7°C, du vent, de la pluie, nous ne traînons pas et redescendons en espérant pouvoir compter sur la géothermie pour nous réchauffer. On trouve en effet des plaines entières recouvertes de soufre fumant, de boues bouillonnantes et de lacs bleus turquoise en fusion.

3658 6D 20150804
On aurait pu placer la photo au-dessus du paragraphe précédent et vous faire croire qu’on était encore au sommet du volcan pour renforcer l’effet dramatique mais on ne nous aurait pas crus).

3665 6D 20150804

3678 6D 20150804

3685 6D 20150804

3691 6D 20150804

3700 6D 20150804

Et ça réchauffe en effet, surtout si l’on se place à l’embouchure de ces cheminées naturelles exacerbées par les chutes de pluie. C’est rigolo mais il faut en payer le prix : une épouvantable odeur de soufre.

3647 6D 20150804

3652 6D 20150804

Maxime retourne bien vite à la voiture pour éviter d’être prix de nausées, le reste de la famille tient mieux le coup.

Nous décidons donc d’aller nager. Similaire au Blue lagoon de Reykjavík, une piscine d’eau laiteuse bleue chauffée par le magma souterrain se trouve au-milieu des champs de lave.

Quel bonheur que de nager dans une eau à 40°C quand le visage est à 7°C sous une pluie fine.

3704 6D 20150804

Les Islandais adorent leurs piscines. Naturelles ou non, chauffées à la géothermie ou à l’électricité, en intérieur ou en extérieur, les piscines sont une véritable institution.

Nous renonçons à la promenade que nous voulions faire dans les champs de lave encore fumante de Krafla, nous promettant d’y revenir le lendemain et prenons la route de la guesthouse suivante qui nous force à emprunter une piste sur plus de 25km. Mais nous nous arrêtons d’abord à Detifoss, la plus puissante des chutes d’eau islandaises.

3708 6D 20150804

Elle est en effet énorme et le fracas assourdissant de l’eau qui tombe la rend encore plus impressionnante. Il s’est arrêté de pleuvoir mais c’est la cascade elle-même qui nous arrose maintenant.

3714 6D 20150804
Difficile d’éviter l’eau sur l’objectif !

Nous nous dirigeons vers la piste et si la carte et le guide nous laissent penser qu’il s’agit d’une piste facile, un panneau à son entrée l’interdisant aux voitures de tourisme nous inquiète un peu. Notre voiture a certes quatre roues motrices, mais elle est très basse. Heureusement, après un ou deux kilomètres, nous croisons, arrivant en sens inverse, une voiture elle aussi immatriculée en Belgique n’ayant rien d’un 4×4. Ses occupants nous rassurent, la piste ne présente pas de difficultés majeures. C’est donc parti pour 25km de toundra avec quelques trous ici ou là, quelques rivières à traverser, mais toutes à sec et effectivement sans réel souci.

3719 6D 20150804

Nous arrivons à la guesthouse en début de soirée. Il est toujours très difficile de savoir à quoi s’attendre. Ni le prix, ni le lieu, ni les photos ne peuvent en donner une véritable idée. Et comme l’offre est très limitée et qu’il n’y a pas de système de notation, on se laisse guider par le hasard et par les commentaires que l’on trouve en ligne. Notre première nuit en Islande était hors de prix pour un service très très moyen, la ferme n’était pas chère et très sympathique mais sentait la vache, nous avions déjà eu une auberge de jeunesse, ce soir serait… une photo est plus parlante :

3728 6D 20150805

On dira que c’était bien entretenu et pas trop cher. Il n’y avait que des chambres doubles, nous avons donc dû en prendre deux. Les enfants ont dormi ensemble et adoré.

Nous craignions un peu que notre tenace odeur de ferme nous fasse mettre à la porte mais nous avons vite été rejoints par un groupe de cavaliers, à cheval pour toute la semaine. Notre odeur n’était plus la plus marquante.

À la ferme

Après avoir fait nos adieux à Keli le chat, nous prenons la route n°1 vers le nord-est. Nous concluons donc notre première expérience d’échange de maisons de manière positive. L’Islande se prête de plus particulièrement bien à ce type de vacances que l’offre hôtelière y est très aléatoire, nous y reviendrons.

Une longue route vers notre prochaine guesthouse, la ferme Björg, dans la région d’Húsavík. Nous aimerions nous arrêter en route mais le pays mériterait qu’on y passe deux mois, il faut faire des choix.

Nous nous arrêterons à la chute des dieux, Goðafoss, une des plus impressionnantes chutes d’eau islandaises.

3614 6D 20150803
Avec quelques touristes à droite pour l’échelle.

3620 6D 20150803

3628 6D 20150803

Nous arrivons à la ferme en fin de journée, juste à l’heure pour la traite des vaches. Nos enfants-des-villes n’en reviennent pas de l’odeur mais parviennent à sourire pour la photo.

1006 5s 20150803

1012 5s 20150803

Les fermiers, du plus jeune au plus âgé, parlent tous aussi bien anglais que nous mais s’excusent de leur niveau d’anglais, pourtant aussi bon que le nôtre. De manière générale, tout le monde parle très très bien anglais dès le plus jeune âge en Islande. « Grâce à la télé » nous disent-ils tous invariablement.

Dimanche à Reykjavík

Dernier dimanche à Reykjavík. Le bateau repartant jeudi, nous ferons la route vers l’est à partir de demain, prenant quelques jours pour visiter le nord du pays.

Nous retournons chez Reykjavík Roasters prendre un café (le meilleur café du monde !).

0995 5s 20150802

Il faut dire qu’en termes gastronomiques, c’est bien la seule chose que nous trouvons valable car pour le reste, ça n’est pas fameux.

0980 5s 20150801

Les restaurants présentés comme bons dans les guides sont au mieux passables. Et si on n’insiste pas pour être servis tous en même temps, chacun mangera de son côté, quand son plat sera prêt. Et la cuisine dans la maison que nous avons habitée nous laisse penser que ça n’est guère mieux chez soi.

En attendant, Tresja fait des emplettes, et ça ennuie Maxime au plus haut point.

0999 5s 20150802

Autre particularité du voyage en Islande, la nuit. Ou plutôt, l’absence de nuit. Il est très difficile de se coucher à des heures raisonnables quand il fait toujours clair à 23h. Mais le solstice a eu lieu il y a plus d’un mois alors le soleil se couche quand même, entre 23h30 et minuit. Et si on n’est toujours pas couché à 1h du matin, on a de la chance à voir percer les premières lueurs du jour.

Snæfellsnes

C’est un peu à contre-cœur que nous avons renoncé à visiter les fjords du nord-ouest de l’Islande. Véritables concentrés d’Islande sauvage, très peu touristiques car à l’écart de la route circulaire, les péninsules ne sont parcourues, au mieux, que de rares pistes longeant la côte. Mais nous nous sommes rendus à l’évidence que les enfants ne seraient pas en mesure d’apprécier la majesté brute de ces lieux et qu’ils n’en retiendraient que de trop longs trajets en voiture. Une bonne excuse pour retourner en Islande dans quelques années.

Nous nous sommes donc rabattus vers la péninsule de Snæfellsnes, au nord de Reykjavik. Dominée par l’immense volcan Snæfellsjökull, point de départ du Voyage au centre de la Terre, elle présente une bonne partie des caractéristiques des fjords du nord-ouest, sans en posséder la même rugosité. On y vit.

3612 6D 20150803
Le volcan, vu de la route quelques jours plus tard (son sommet restera embrumé lors de notre passage sur ses flancs).

3611 6D 20150801
Voyage au centre de la Terre.

Premier arrêt à l’office du tourisme de Grundarfjörður, rue de Paimpol.

3462 6D 20150731

Les pêcheurs à la morue français ont laissé de nombreuses traces en Islande. Ce village en est clairement une. Les enfants se font un plaisir de chanter la Marseillaise à tue-tête dans la rue.

Une chute d’eau et quelques chevaux nous offrent à la sortie du village une belle opportunité de promenade.

3471 6D 20150731

3481 6D 20150731

3483 6D 20150731
On plonge ?

3488 6D 20150731

3511 6D 20150731

Maxime a le malheur de s’approcher un peu trop de la clôture des chevaux et reçoit une décharge électrique qui lui laissera une belle marque rouge dans le dos. Les bêtes sont moins paisibles que nos vaches et le voltage est adapté en conséquence.

Nous passons la nuit à Ólafsvík, dans une guesthouse de bon aloi, qui nous rappelle les auberges de jeunesse suédoise.

Au deuxième jour sur la péninsule, un vieux volcan nous invite à escalader ses flancs.

3526 6D 20150801

3532 6D 20150801
Au tout premier plan, le flanc de notre volcan, juste derrière, un volcan fossilisé, puis une série de jeunes cratères et dans le lointain, on devine les inaccessibles falaises des fjords de l’ouest.

3539 6D 20150801
Dès qu’on prend un peu d’altitude, le vent devient difficilement supportable.

Puis nous passons par Djúpalónssandur, plage de sable noir connue pour ses concrétions basaltiques et ses quatre pierres utilisées jadis pour déterminer si les jeunes hommes du coin étaient aptes à participer aux campagnes de pêche en mer. Quatre pierres donc de 23, 54, 100 et 123 kilos pour une mauviette, un bon à pas grand-chose, un homme et un colosse. C’est le quintal qui offrait un ticket sur les chalutiers.

3543 6D 20150801
54 kilos!

3544 6D 20150801
Maxime a préféré ramasser une pierre adaptée à sa force.

3564 6D 20150801
Marieke, elle, ramasse des galets qu’elle nettoie consciencieusement dans l’eau de mer.

Comme du côté de Vík, les concrétions basaltiques sont des trolls figés. « Mais Papa, arrête!, ça n’existe pas les trolls! » me répète sans arrêt Maxime. Il n’hésite pourtant pas à leur grimper sur le dos.

3563 6D 20150801

3573 6D 20150801

3576 6D 20150801

3558 6D 20150801

3555 6D 20150801

3583 6D 20150801

3584 6D 20150801

Nous continuons notre route jusqu’à Hellnar où les falaises hébergent, comme partout, de nombreuses espèces d’oiseaux.

3600 6D 20150801

3605 6D 20150801

3610 6D 20150801
Chute de Maxime dans un fossé.

Nous repartons en soirée vers Mosfellsbær et Reykjavík retrouver Keli le chat.

Promenade à Vestmannæyjar

Nous sommes allés passer la journée aux îles Westman, Vestmannæyjar en islandais, îles connues pour leur volcanisme parfois violent. En 1973, la ville entière (il n’y en a qu’une, près de 5000 habitants quand même) fut évacuée quand un volcan surgi de nulle part en détruisit une partie conséquente. Quelques années plus tôt, c’est une île entière qui était apparue en quelques jours. Tout s’est toutefois pour l’instant calmé et nous avons pu nous promener tranquillement, admirant les nombreux oiseaux qui nichent sur l’île.

3309 6D 201507293321 6D 201507293327 6D 201507293331 6D 201507293333 6D 20150729

3340 6D 20150729
On essaie de repérer des nids de macareux.

3347 6D 20150729
Dans le lointain, Surtsey, l’île apparue en 1963.

Au retour, nous sommes passés devant le stade du coin. Maxime, clairement en manque de football, nous a essayé de nous convaincre de rester pour admirer l’entraînement de l’équipe locale.

3352 6D 20150729
À l’ombre inquiétante du volcan.

Mais le bateau nous attendait, nous n’avons pas pu nous attarder.

? Promenade élue meilleure promenade des vacances par Maxime ?

Randonnée à cheval

Le principal souhait de Marieke en Islande était de pouvoir faire une promenade à cheval.

0921 5s 20150725

0920 5s 20150725
Il faut vraiment être passionnée pour dessiner aussi bien les chevaux.

Bien qu’à l’origine personne ne fut très tenté pour l’y accompagner, elle a réussi à tous nous convaincre d’enfiler la bombe pour faire une randonnée de deux heures dans les environs de Reykjavík. Papa et Maman n’avaient fait de cheval qu’une seule fois (il y a environ trente ans, et tous les deux s’étaient retrouvés à terre). Maxime n’était monté sur un cheval qu’une fois, lors d’un stage à la ferme, mais ne s’était jamais promené avec.

3130 6D 201507273134 6D 201507273140 6D 201507273143 6D 201507273150 6D 201507273157 6D 201507273166 6D 20150727

3171 6D 20150727
La vue, depuis le cheval de Papa

3173 6D 201507273177 6D 201507273179 6D 201507273180 6D 201507273182 6D 201507273189 6D 201507273193 6D 201507273200 6D 201507273205 6D 201507273215 6D 20150727

Nous nous sommes tous bien amusés. Papa a même compris l’intérêt du trot enlevé, mais il n’en a pas moins des ampoules au derrière!

? Promenade élue meilleure promenade des vacances par Marieke ?

Geysir et Gulfoss

Après le Blue Lagoon, les choses à ne pas manquer à Reykjavík sont Geysir et Gulfoss. Malheureusement, nous avons subi une drache monumentale en nous rendant au geyser. Glacée, elle a un peu refroidi les ardeurs de tous. Nous avons heureusement pu y revenir quand le nuage se fut déplacé.

3024 6D 201507263026 6D 20150726

3027 6D 20150726
En attendant l’éruption.

3032 6D 20150726
Papa, on a froid!

3034 6D 20150726
Moi aussi!

3036 6D 20150726
À la boutique touristique.

3044 6D 20150726
Gulfoss.

3045 6D 20150726
Notez le petit arc en ciel en arrière plan.

3048 6D 20150726

3060 6D 201507263056 6D 20150726

3083 6D 20150726
Les enfants jouent avec des pissenlits.

On sait que certaines routes islandaises nécessitent des 4×4. On pousse cependant parfois les choses un peu trop loin :3094 6D 20150726

Geyser
Retour à Geysir.

3098 6D 20150726
Ça sent l’œuf pourri!

Mosfellsbær et Reykjavík

Cet échange de maisons est le premier de la sorte et nous en sommes satisfaits. Un des avantages principaux (outre l’aspect économique) est que l’on se sent vraiment chez soi. On ne se sent donc pas obligés de sortir ou d’effectuer une excursion tous les jours et on peut tout à fait profiter de la maison, de la ville (Mosfellsbær) ou de sa banlieue (Reykjavík).

À la maison, il y a tout pour plaire aux enfants, et ils en profitent.

3288 6D 20150728
Dans le jacuzzi.

3362 6D 20150730

3366 6D 20150730
Sur le trampoline.

3383 6D 20150730

3395 6D 20150730
Avec Keli le chat.

0975 5s 20150728
À la playstation (pendant le seul match pour lequel Maxime a réussi à enrôler Papa; victoire 1-0 de Marseille sur Lens).

La maison est non seulement très agréable, elle est aussi très bien située. À deux minutes à pied d’un parc, à moins de cinq minutes de la pampa islandaise et à dix minutes du centre de Reykjavík.

3008 6D 20150726

3015 6D 20150726
Au parc.

3415 6D 20150730
Au retour du parc, les enfants découvrent un toboggan au milieu de la végétation.

3420 6D 20150730

Reykjavík est une petite ville fort sympathique à parcourir à pied. Après deux jours maussades, le beau temps s’est installé (avec des pointes de chaleur à 15°C) et nous pouvons donc bien en profiter.

2962 6D 201507252963 6D 201507253222 6D 20150727

2965 6D 20150725
Chez Reykjavík Roasters, nous trouvons le meilleur café du monde. Les enfants y profitent des pâtisseries.

2968 6D 201507252973 6D 201507252975 6D 201507252977 6D 20150725

2978 6D 20150725
Hommage aux pêcheurs d’Islande.

2979 6D 20150725
Dans le port, devant un bateau de guerre.

3226 6D 20150727

Nous sommes bien sûr aussi allés au Blue Lagoon, l’attraction numéro un à Reykjavík. Le Blue Lagoon est un lac artificiel chauffé à plus de 40°C par les volcans environnants. Très plaisant. Nous n’avons pas eu le courage de sortir l’appareil-photo, occupés que nous étions à nous prélasser dans l’eau bleue laiteuse.

Au pays des glaces

Deuxième jour en Islande et le temps n’est pas encore fameux. Nous nous rendons au Jökulsárlón, lac célèbre pour les blocs de glace qui le jonchent. Les enfants répétaient sans cesse que l’Islande était le pays des glaces, les voilà servis.

2737 6D 20150724

2738 6D 20150724

2739 6D 201507242740 6D 201507242760 6D 201507242767 6D 20150724

2736 6D 20150724
Quand on y est, elle est bonne.

Marieke insiste toujours pour prendre des photos elle-même. Avec un certain goût :

0891 5s 20150724

On préfèrera en tout cas ses photos à celles prises par Maxime :
2782 6D 20150724

0841 5s 20150724

Nous continuons notre route, et Marieke son reportage photographique en longeant dans une plaine désertique le Vatnajökull, l’immense glacier qui recouvre une grande partie de l’île.
2798 6D 20150724

2806 6D 20150724
Breiðárlón

2856 6D 20150724
Dixième arrêt pipi.

Nous nous arrêtons pour manger à Vík í Mýrdal, la grande ville de la côte sud (291 habitants) et pour nous promener le long des falaises de basalte, occupées par de nombreux macareux-moines, l’oiseau emblématique du pays.

2870 6D 20150724

2874 6D 20150724

2880 6D 20150724
Le trône de pierre

2889 6D 20150724
Un couple de macareux

2893 6D 20150724
Les rochers à l’arrière-plan sont connus pour être des trolls figés. Restés trop longtemps au soleil, ils se sont transformés en pierre pour l’éternité.

2898 6D 201507242905 6D 201507242911 6D 20150724

La route jusqu’à Reykjavik traverse une plaine couverte par des lupins sur des kilomètres et des kilomètres. Une cinquantième pause pipi nous permet d’en prendre une photo :
2940 6D 20150724

Nous arrivons en fin d’après-midi à Mosfellsbær où nous prenons possession de la maison. Un chat, une Playstation et un trampoline y font aussitôt le bonheur des enfants.

En route vers l’Islande

Vacances en Islande cette année : nous échangeons notre maison avec une famille de Mosfellsbær, en banlieue de Reykjavik. Nous avons décidé d’y aller en voiture, en prenant le ferry au nord du Danemark.

Après un premier arrêt chez Opa et Oma pour gagner quelques heures sur la route du port, nous passons la nuit près d’Hirtshals où la chambre d’hôtes a de quoi occuper les enfants.

2484 6D 201507202488 6D 20150720

Départ matinal le lendemain car nous devons nous présenter à l’embarquement 2h30 avant le départ du ferry, prévu à 11h30.

2504 6D 20150721
Embarquement sans encombre, mais déjà beaucoup de vent.

2508 6D 20150721
Maxime se fait très vite des copains au mini-terrain de foot.

0821 5s 20150721
Et quand il ne joue pas au foot, il passe son temps à… jouer au foot sur la Playstation.

0822 5s 20150721
Marieke a des activités plus calmes.

0825 5s 20150721
Dans la cabine où nous sommes surpris de dormir si bien.

0827 5s 20150722
On se réveille à temps pour voir disparaître les îles Shetland à l’arrière du bateau.

2514 6D 20150722
Et toujours beaucoup de vent.

2537 6D 20150722
Partout des machines à sous.

2623 6D 20150722
« Terre ! »
Mais c’est une fausse alerte: on fait escale aux îles Féroé.

2556 6D 20150722

2627 6D 20150723
Troisième jour de mer, terre en vue, la bonne cette fois-ci. Malheureusement, le soleil a disparu.

2640 6D 20150723
Le vent par contre est toujours bien là.

Nous accostons après quarante-huit heures de traversée sans encombre (Tresja craignait que certains seraient malades) à Seyðisfjorður, un fjord à l’est de l’Islande. Il nous faut donc traverser le pays, nous avons prévu de le faire par la route sud, pour rejoindre la capitale. Nous nous autoriserons une étape à mi-distance.

Le premier jour, le temps n’est pas fameux. Il pleut, il fait froid (2,5°C nous dit la voiture) et le vent bien sûr ne nous quitte pas.

2659 6D 20150723
Première chute d’eau.

Nous arrivons dans l’après-midi à la guesthouse où nous avons réservé une chambre. Hébergement cher et très basique, comme trop souvent en Islande. Mais le temps semble s’améliorer.

Petite promenade en soirée avant de reprendre la route et de faire notre première excursion touristique le lendemain.

2668 6D 201507232672 6D 201507232689 6D 201507232693 6D 20150723

2695 6D 20150723
Yo!

2697 6D 20150723

  • Archives