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Domburg 2015 – À l’eau
Dernier jour à Domburg, il fait un peu moins beau que les jours précédents, il est temps de rentrer à Bruxelles.
À force de faire le malin, Maxime finit par tomber à l’eau.
« Papa, lance le ballon en l’air! »
Nous finissons le weekend avec des moules-frites dans le village.
Comme tous les ans, un excellent weekend.
Domburg 2015 – Promenade à vélo
Troisième jour à Domburg. Il fait toujours très beau. Maxime et Papa vont courir sur la plage pendant que Marieke et Maman ramassent des coquillages.
Nous allons passer l’après-midi à Veere et y allons un vélo. Veere est à 15km de Domburg, nous savons que les enfants ne sont pas prêts à faire l’effort. Nous louons donc un tandem à trois places afin de partager l’effort. Un vrai succès!
La vue, de la place du pilote.
Au retour, le brouillard tombe et la température rafraîchit mais la promenade reste le temps fort du weekend.
Domburg 2015 – L’âge de raison
Deuxième jour à Domburg, Marieke a sept ans, l’âge de raison, l’âge où on peut commencer à avoir ses propres couteaux de cuisine.
Il fait toujours aussi beau, les enfants ramassent des coquillages.
Nous mangeons des fish & chips dans le village avant de s’offrir un petit goûter d’anniversaire.
Nous n’avons que trois bougies, elles feront l’affaire.
Carton rouge!
Encore un beau coucher de soleil
Domburg 2015 – Les oreilles de Marieke
Notre traditionnel week-end dombourgeois le premier week-end de novembre.
Nous arrivons à l’heure du repas, Marieke a encore les oreilles entières.
Mais dès la sortie du restaurant, nous nous dirigeons vers la joaillerie. Nous avions promis à Marieke qu’elle pourrait se faire percer les oreilles à sept ans. Nous le faisons avec une journée d’avance.
Les oreilles sont percées.
Marieke a gardé le sourire après que la première oreille fut percée, l’avait un peu moins après la deuxième. Une troisième oreille aurait essuyé un refus.
Puis c’est la plage où nous avons droit à un coucher de soleil très coloré.
Au début elle est froide…
Quand on y est, elle est bonne.
Cocktail sur la plage pour finir la journée.
Une journée typique à Domburg
Les jours se suivent et se ressemblent : si le soleil du premier jouer a laissé la place à un vent à décorner les bœufs, qui nous permet d’échapper jusqu’à aujourd’hui à la pluie, nous suivons tous les jours le même programme : nous nous levons trop tôt, prenons le petit-déjeuner et partons à la plage.
Maxime prend invariablement son costume de pêcheur, en espérant attraper des poissons.
Après quelques vagues, ses bottes sont pleines d’eau.
Il renonce alors à la pêche pour jouer au sable.
Marieke a été surprise par une vague et s’est retrouvée les bottes dans quelques millimètres d’eau. Elle n’a guère apprécié.
De manière générale, Marieke refuse de marcher, n’aime pas être dans la poussette et veut donc toujours être dans les bras.
Nous finissons notre tour à la plage à la balançoire.
Nous rentrons ensuite à la maison, mangeons avant que Marieke ne fasse la sieste.
Dans l’après-midi, nous repartons à la plage, Maxime ne prend plus ses bottes et se contente de jouer dans les flaques.
et de courir avec Maman
Nous rentrons par le village
avant de mettre les enfants au bain
et de les faire souper, avec force grimaces pour se forcer à bien rire.
Et on finit la soirée en lisant une histoire ou en sautant sur les lits.
Le lendemain, c’est la même chose.
Maxime enfile sa tenue de pêcheur.
Il se mouille très vite les pieds.
Là, il imite le cheval qui tire la poussette
Pendant ce temps-là, Marieke pleurniche car elle doit marcher, et finit parfois par tomber.
Puis c’est la balançoire.
Avec des accidents parfois
L’heure de la sieste arrive vite, trop vite parfois.
Après le repas et la fin de la sieste, nous retournons à la plage. Maxime joue aux flaques
et court avec Maman
Beaucoup beaucoup de vent ce jour-là
On se protège comme on peut
Marieke apprécie soudain l’abri de la poussette
Puis c’est le retour via le village
La nuit tombe vite ces jours-ci
Pour la première fois de sa vie, Marieke se laisse porter sur les épaules
On rentre, on mange, on saute sur les lits et dodo.
Aujourd’hui, nous avons dérogé à la règle en ne retournant pas à la plage dans l’après-midi mais en prenant un copieux goûter à l’hôtel.
Bien nous en a pris, c’est aujourd’hui que la pluie s’est mise à tomber.
L’anniversaire à Domburg
Les vacances de Toussaint ont commencé ce week-end pour Maxime, nous avons décidé de passer une semaine à Domburg. C’est donc ici que nous avons fêté l’anniversaire de Marieke.
Marieke a reçu de la pâte à modeler…
des poneys à coiffer…
une dinette…
et surtout des bracelets roses avec lesquels elle n’arrête pas de jouer.
Nous avons profité du beau temps (pas de vent, pas de nuages, pas froid), pour passer du temps à la plage.
Un ciel très bleu, photo réalisée sans trucage
Maxime s’est vite retrouvé avec de l’eau plein les bottes!
Les bottes de Maxime sont bien pleines d’eau.
Nous étions déjà allé à la plage la veille en arrivant, il faisait alors un peu plus frais, et les enfants n’avaient pas leurs bottes.
Vivement les bottes!
Nous nous sommes réchauffés en mangeant poisson pané et frites près de la plage.
Mais c’est à la crèche vendredi que Marieke avait d’abord fêté son anniversaire, avec ses amis.
Avec Olivia, les meilleurs amies du monde à la crèche, toujours à se disputer à la maison
Des cornes de diablesse pour fêter Halloween.
C’était aussi la fête d’Halloween à l’école, Maxime s’était déguisé en chevalier (pour attaquer tous les monstres!)
Retour à Domburg
Maxime avait passé ses premières vacances à Domburg, on s’en souvient.
Nous y sommes retournés ce week-end, invités par tante Aleth et oncle Paul à loger au château local.
Après une première nuit un peu difficile (la chambre était bruyante, Maxime avait de la fièvre et a eu beaucoup de mal à dormir), nous avons pu profiter du temps magnifique (un peu frisquet, certes) pour aller courir sur la plage.
Dans l’après-midi, nous sommes allés à Middelburg où Saint-Nicolas faisait son arrivée, en musique, sur son beau cheval blanc.
Maxime a pu danser, applaudir et… manger, en goûtant notamment des poffertjes, sortes de petites crêpes.
En soirée, Maxime a pris un bain avec Maman (alors qu’il a l’habitude de le prendre avec Papa). A-t-il la mémoire courte ? Il s’est en tout cas montré très intrigué par l’anatomie maternelle !
La nuit, bien que plus calme, a encore été courte et fiévreuse. Les coupables ? Deux nouvelles dents qui sont sorties aujourd’hui. Une incisive pour enfin en compléter la collection et une canine. Ce sont les premières dents à pousser depuis plusieurs mois. Maxime a donc maintenant treize dents.
Dans la nuit, Saint-Nicolas avait trouvé la chaussure de Maxime et y avait déposé un joli cadeau. La carotte est par contre restée dans la chaussure, il faut dire qu’elle n’était guère appétissante, on comprend que le cheval n’en ait pas voulu.
Après un petit déjeuner copieux, nous sommes retournés à la plage.
Maman a pris Maxime sur les épaules, mais il n’est plus tout léger et ne sait pas encore se tenir seul. Maman s’est plaint du dos toute la soirée !
Nous sommes enfin allés à Veere, chef-lieu de commune, charmant petit village où Maxime a pu manger une crêpe néerlandaise (une « pannekoek »). Verdict : il préfère les bretonnes.
Nous avons toujours grand plaisir à retourner à Domburg. Et ça n’était assurément pas la dernière fois !
En octobre, la côte zélandaise
En octobre, nous sommes allés à Domburg, comme presque tous les ans, même si nous n’étions descendus au même hôtel que d’habitude.
Nous montons les je-ne-sais-plus-combien-de-marches de je-ne-sais-plus-quelle-tour.
Week-end dombourgeois
Nous n’étions plus allés à Domburg depuis deux ans; les anniversaires successifs nous ont servi d’excuse pour nous faire un petit cadeau à nous-mêmes en allant y passer un week-end. Rien n’y a changé, nous continuons à nous promener sur la plage et à rencontrer Saint-Nicolas pour son arrivée à Middelburg.
Photo prise par Maxime
Dessin préparé par Maxime pour Saint-Nicolas
Dessin préparé par Marieke pour Saint-Nicolas
Un artiste en herbe
Papa a malheureusement perdu son appareil-photo et toute une partie des clichés à disparu avec lui.
Week-end dombourgeois
Nous nous étions quittés en nous inquiétant de l’état de santé des uns et des autres. Marieke avait une petite gastro, Papa du mal à sortir d’un état grippal qui durait depuis plusieurs jours tandis qu’une peau un peu sèche et le grand froid nous firent nous demander pendant quelques heures et à tort si Maxime pouvait avoir la cinquième maladie.
Vendredi matin, Marieke semblait aller mieux, même si elle n’avait toujours pas grand appétit : elle se contenta d’un yaourt.
Grincheuse sur la route, nous la pensions fatiguée; c’est au moment ou je coupai le contact sur le parking de l’hôtel qu’elle vomit le peu qu’elle avait mangé, dernier épisode de cette première maladie.
Papa pensait aller mieux, mais son tee-shirt trempé en pleine nuit samedi matin lui rappelèrent qu’il était encore fiévreux. Et c’est vraiment barbouillé qu’il se réveilla quelques heures plus tard. Là aussi, dernier soubresaut d’une mini-grippe bien importune.
Samedi soir, nous étions descendus manger au restaurant de l’hôtel en laissant les enfants endormis dans la chambre. Nous allions choisir le dessert quand le baby-phone nous prévint que les enfants étaient réveillés. Dès la sortie de l’ascenseur, j’entendis Maxime hurler qu’il était malade. Je ne m’attendais pas à le trouver debout, ayant vomi par terre et essayant d’ouvrir la porte des toilettes. Il n’avait heureusement pas vomi dans le lit, mais ça n’allait pas tarder. Inutile de rentrer dans les détails, mais il me fallut transporter Marieke dans l’autre chambre et garder Maxime au chaud près des toilettes pendant que nous remettions la pièce en état.
J’ai finalement passé le reste de la nuit avec Maxime, Tresja avec Marieke, et tout le monde a dormi jusqu’à 9h. Que s’est-il passé ? Encore un classique coup de froid pensons-nous. Il faut vraiment que nous gardions en tête que Maxime y est fragile et que nous évitions de l’exposer.
Ce soir, tout le monde va très bien, mais les parents dont les enfants ne sont jamais malades ne peuvent pas se rendre compte de leur chance.
Les quelques difficultés sont passées, parlons du week-end qui fut excellent, et qui ne nous donne qu’une envie, recommencer (à Domburg ou ailleurs).
Nous sommes arrivés vendredi après-midi, sous un temps froid et venteux, mais sec (même si nous avions eu quelques flocons de neige, des giboulées, dans la matinée à Bruxelles). Nous connaissions l’hôtel mais avions cette fois pris une suite familiale (plutôt qu’une simple chambre, la famille s’étant agrandie). Le grand luxe : deux grandes chambres séparées par une belle pièce faisant office de salon, salle à manger et cuisine, salle de bain et salle de douche, et vue sur les toits depuis la terrasse.
Marieke a d’abord fait la sieste pendant que Maxime jouait avec son train et avec le téléphone.
Nous sommes ensuite allés faire un tour à la plage, quel froid!
Nous avons ensuite retrouvé Paula et Javier, entretemps arrivés. Les garçons ont regardé quelques épisodes de Tchoupi avant de partager un lit pendant que les parents mangeaient dans la pièce voisine.
Pas d’image sur la télé?, ils regardent en fait l’ordinateur, caché sur la photo.
La pluie qui est tombée en abondance pendant la nuit a fait disparaître les nuages et nous avons eu ciel bleu jusqu’à la fin du séjour. Mais qui dit ciel bleu en cette saison dit souvent froid glacial. Nous n’y avons pas échappé quand nous sommes allés nous promener sur la plage samedi matin.
Nous nous sommes vite réfugiés dans un café de bord de mer pour boire un chocolat chaud, pendant que les enfants dégustaient des sucettes.
Repas au village, c’est la première fois que nous vîmes les filles jouer ensemble.
Dans l’après-midi, nous sommes allés admirer les infrastructures du plan Delta avant d’aller nous promener dans les dunes.
Les enfants ont pu y étrenner leurs nouvelles épuisettes…
…en apprenant par la même occasion qu’il faut fuir l’eau qui monte.
Retour à l’hôtel, Marieke était fatiguée, Maxime s’est gentiment offert de la réconforter.
Un Tchoupi et au lit!
Dimanche, encore un passage à la plage, il y faisait un peu moins froid que la veille.
À force de s’approcher de l’eau, on y finit avec les pieds. Heureusement, Maxime n’y est pas resté assez longtemps pour que ceux-ci soient vraiment mouillés.
Tiens, et si on essayait de pousser Javier à l’eau.
Fini la plage, nous sommes partis manger à Veere avant de prendre la route du retour pour clore un très bon week-end.